Correspondance

Gallimard - EAN : 9782070118199
BALZAC HONORE DE
Édition papier

EAN : 9782070118199

Paru le : 24 nov. 2011

73,00 € 69,19 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782070118199
  • Réf. éditeur : A11819
  • Collection : BIBLIOTHEQUE DE
  • Editeur : Gallimard
  • Date Parution : 24 nov. 2011
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 1456
  • Format : H:180 mm L:117 mm E:35 mm
  • Poids : 556gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Le 13 février 1836, une inconnue écrit à Balzac ; elle voudrait savoir s'il correspond à l'idée qu'elle s'est faite de lui en le lisant, se dit incapable de séparer l'homme de l'auteur et éprouve le désir "senti et réfléchi" d'une rencontre : "trouvez-vous lundi à une heure au foyer de l'Opéra et abordez-moi ; je serai noire de la tête aux pieds, et des noeuds roses au bas des manches." Balzac s'est-il rendu à l'invitation ? On l'ignore, l'affaire n'a pas laissé de traces. Mais toute sa correspondance répond à la dame en noir : l'homme et l'auteur, inséparables, s'y livrent à coeur ouvert. Ces années, de 1836 à 1841, sont marquées par l'achèvement des Études de moeurs et des Études philosophiques, et par l'écriture et la publication d'oeuvres de premier plan, Le Lys dans la vallée, César Birotteau, Illusions perdues, Béatrix... Le travail est plus intense que jamais, "je suis dans mon cabinet, comme un navire échoué dans les glaces". Au printemps de 1839, le plan de La Comédie humaine est établi : ce qui a toujours paru gravé dans le marbre, le voici à l'état naissant. Et il y a d'autres fronts, que Balzac ne déserte jamais : les salons, la presse, le théâtre (avec Vautrin, interdit au lendemain de la première) - et toujours des imprimeurs rétifs, des fournisseurs impatients, des huissiers intraitables et des créanciers revêches (au nombre desquels figure la mère d'Honoré). il y a les dames, enfin, une Louise notamment, dont on ne sait rien, mais à travers qui on touche aux secrets les plus intimes de Balzac. "Ma vie est décidément trop pesante pour être jamais épousée par un coeur où il y a quelque sensibilité. N'ayez pas d'amitié pour moi, j'en veux trop."
  • Biographie : Balzac, de son vrai nom Balssa, est né à Tours en 1799. Délaissé par sa mère qui lui préfère son fils naturel Henri (auquel est dédié "Le Bal de Sceaux"), il devient pensionnaire au collège oratorien de Vendôme. À partir de 1814, il fait des études de droit. Mais à vingt ans, sûr de sa vocation littéraire, il s'installe à Paris, et vit dans une mansarde. Il rencontre Laure de Berny de vingt-deux ans son aînée, qui aura une influence décisive sur sa formation. En 1829, Balzac publie "Les Chouans" qui annonce une période de vingt années durant lesquelles il va produire plus de quatre-vingt-cinq romans, tout en menant une vie très active et mondaine. Il est reçu dans différents salons dont celui de Mme de Récamier. Au début de 1830, il donne "Scènes de la vie privée", un recueil de six nouvelles dont fait partie "Le Bal de Sceaux", premier élément de "La Comédie Humaine", suivi de "La Duchesse de Langeais", du "Curé de Tours", du "Colonel Chabert"... 1832 voit le début de sa longue correspondance avec Mme Hanska. À partir de 1838, paraissent de nombreux romans dont "César Birotteau", le début des "Illusions perdues", la première partie de "Splendeurs et Misères des courtisanes", "Béatrix", "Le Curé de Village"... À la fin de 1841, Balzac met au point le plan de l'ambitieuse et inégalée "Comédie humaine" soutenu par quatre éditeurs et continue à publier : "Ursule Mirouet", "Modeste Mignon", "La Cousine Bette", "Le Cousin Pons"... Le 14 mars 1850, Balzac épouse enfin Mme Hanska mais il tombe gravement malade. Il meurt à Paris le 18 août 1850, et est enterré au Père Lachaise. Victor Hugo prononce l'éloge funèbre.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.