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De la traductibilité du droit
EAN : 9782247106868
Paru le : 29 juin 2011
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- EAN13 : 9782247106868
- Réf. éditeur : 961302
- Collection : A DROIT OUVERT
- Editeur : Dalloz
- Date Parution : 29 juin 2011
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 374
- Format : H:213 mm L:146 mm E:20 mm
- Poids : 520gr
- Interdit de retour : Retour interdit
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Résumé :
Le testament rédigé par une Française au bénéfice de sa fille domiciliée à New York doit être traduit aux fins d'homologation par les cours des États- Unis.
Un Anglais et une Allemande concluent un contrat de vente que leurs avocats proposent de formuler dans chacune de leurs langues.
Le Canada adopte une seconde langue officielle et s'astreint à traduire l'ensemble de ses lois et décisions de jurisprudence.
Dans le cadre de la négociation d'une convention internationale en matière contractuelle, les États signataires s'entendent pour l'officialiser dans plus d'une langue. Chaque cas soulève la question de la traductibilité du droit.
- Dans quelle mesure l'expression française " biens meubles ", comme la conception qu'on se fait de cette notion en France, sont-elles traduisibles en anglais ?
- Pour leur part, les mots " contract of sale " et " Kaufvertrag " rendent-ils compte de la même réalité ?
- Par ailleurs, bien que le terme " divorce " de la législation canadienne soit identique dans les versions anglaise et française, les connotations sont-elles similaires dans les deux situations ?
- Enfin, est-il possible de transmettre, sous forme de règle ou de principe uniforme, l'idée de la " bonne foi " dans une multitude de langues nationales ?
Proposant un impressionnant panorama de la pensée de la traduction, examinant dans le détail deux situations empruntées à l'actualité juridique, ce livre convoque un ensemble de disciplines et divers droits pour en arriver à suggérer des conclusions audacieuses marquées par une lucidité dont le transnationalisme juridique ne saurait faire l'économie.
Diplômée de la Cornell Law School et docteur en droit de la Sorbonne, Simone Glanert enseigne à la Kent Law School.