Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
DESCARTES ET LA FABRIQUE DU MONDE - LE PROBLEME COSMOLOGIQUE, DE COPERNIC A DESCARTES
PUF - EAN : 9782130800651
Édition papier
EAN : 9782130800651
Paru le : 29 mai 2019
35,00 €
33,18 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782130800651
- Réf. éditeur : 873422
- Collection : EPIMETHEE
- Editeur : PUF
- Date Parution : 29 mai 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 432
- Format : 2.30 x 15.00 x 21.70 cm
- Poids : 572gr
- Résumé : « Descartes ne qualifie sa cosmologie que sous le modeste diminutif d'une "fable du monde". Ceci peut s'interpréter comme l'aveu d'une impuissance de la raison à atteindre l'authentique fabrique du monde. Mais avant d'être une fiction dénuée de toute vérité, une fable est d'abord un récit, comme celui que l'Écriture propose au premier livre de la Genèse. Nous enquêtons ici sur le commentaire cartésien de la Genèse, texte perdu, mais suffisamment avancé pour que Descartes envisageât, en 1640, de le soumettre à l'approbation de la Sorbonne. Qu'y aurait-il montré ? Qu'en concevant le mouvement comme une séparation réciproque des parties de l'étendue, il se conformait à la lettre au récit mosaïque de la création. Descartes s'appuie sur une lecture précise de la Genèse, mais une lecture si originale et si peu orthodoxe qu'il doit presque aussitôt renoncer à en faire une caution pour sa philosophie naturelle. Nous enquêtons donc moins sur cet In Genesim, que sur les raisons de sa disparition. »