Deux Mélodies pour la jeunesse

Symetrie - EAN : 9782364852716
,
Édition papier

EAN : 9782364852716

Paru le : 25 avr. 2024

12,00 € 11,37 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782364852716
  • Réf. éditeur : SYM-271-6
  • Editeur : Symetrie
  • Date Parution : 25 avr. 2024
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 24
  • Format : H:297 mm L:210 mm E:2 mm
  • Poids : 77gr
  • Résumé : La Légende de saint Nicolas

    La Légende de saint Nicolas est publiée le 1er janvier 1880 dans le premier numéro de Saint-Nicolas  : Journal illustré pour garçons et filles, périodique diffusé jusqu’en 1914 dont la devise fait écho aux principes éducatifs de la IIIe République : « Instruire en amusant ! »

    Le numéro consacre cinq pages à la légende de saint Nicolas dont les origines sont à la fois diffuses et anciennes. Née au xiie siècle, elle est encore aujourd’hui connue, particulièrement dans l’est de la France, et retrace la mésaventure de trois enfants perdus qui, après être allés «  glaner aux champs  », tentent de se réfugier chez un boucher. Ce dernier les assassine pour en faire du petit salé, mais saint Nicolas les ressuscite bien des années plus tard, après avoir piégé le boucher qu’il transforme en père Fouettard. C’est dans la nuit du 5 au 6 décembre que saint Nicolas, devenu protecteur des enfants, fait la tournée des maisons pour leur distribuer des sucreries et vérifier qu’ils vont bien.


    Dans ton regard

    Dans ton regard paraît dans le numéro spécial de janvier 1904 de la revue bordelaise L’Escholier, sous la forme d’un fac-similé du manuscrit autographe avec une lettre d’accompagnement signée du compositeur. Cette revue mensuelle, conçue pour les étudiants bordelais, se pare d’un certain prestige en publiant une mélodie en apparence inédite du «  maître  » Massenet, sans donner le nom de l’auteur du poème ni de titre. Or cette mélodie provient d’une mélodie oubliée, Aveu, composée sur un poème de Paul Bourguignat et publiée sans lendemain dans l’Album-prime du Gaulois au cours de l’hiver 1884-1885.
    Musicalement, le rythme et la densité harmoniques diffèrent aussi sensiblement d’une mélodie à l’autre. Aveu évolue sur des accords plaqués de trois à quatre notes, alors que l’harmonie de Dans ton regard est moins riche et plus contrapuntique. Dans ton regard dénote ainsi une simplification des moyens musicaux afin de rendre la pièce accessible à un jeune public encore peu aguerri.
  • Biographie : Né à côté de Saint-Étienne dans une famille très nombreuse, Massenet reçoit ses premières leçons de sa mère, bonne pianiste. Il entre au Conservatoire de Paris à l’âge de 11 ans et effectue ses études auprès de maîtres tels que Bazin, Reber et Ambroise Thomas. Il obtient le premier grand prix de Rome en 1863 et part pour la « ville éternelle » où il fera la connaissance de Liszt. De retour à Paris, il livre à la scène son premier ouvrage (La Grand’ Tante, 1867) à 25 ans et entame une carrière de compositeur – essentiellement mais non exclusivement – lyrique qui ne connaîtra pratiquement que des succès. Plus d’une vingtaine d’opéras vont suivre jusqu’à sa mort (plusieurs ouvrages seront d’ailleurs présentés à titre posthume), témoignant à la fois d’une grande force de travail et d’une inépuisable inspiration : Le Roi de Lahore (1877), Manon (1884), Le Cid (1885), Le Mage (1891), Werther (1892) sans doute le plus célèbre de tous, Thaïs (1894), Cendrillon (1901), Don Quichotte (1910)… Il absorbe et fait siennes – ce qui lui a été parfois reproché – les influences des écoles étrangères : allemande avec Wagner, italienne avec les véristes. Orchestrateur hors pair, très attentif à la mise en musique de la langue française, il est le musicien qui dépeint le mieux le mystère et la sensualité de la femme, tant à l’église (voir ses trois « légendes sacrées » ou « mystères » : La Vierge, Ève, Marie-Madeleine) qu’au théâtre (beaucoup de ses opéras portent en effet des noms de femmes). Nommé professeur de composition au Conservatoire en 1878, il occupera ce poste pendant 18 années et aura ainsi une influence considérable sur toute une génération de musiciens au nombre desquels on trouve Gustave Charpentier, Gabriel Pierné et Reynaldo Hahn.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.