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Dieu william windsor et déesse fatoumata windsor
EAN : 9782414454938
Édition papier
EAN : 9782414454938
Paru le : 31 mars 2020
8,00 €
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- EAN13 : 9782414454938
- Réf. éditeur : 1004390
- Date Parution : 31 mars 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 44
- Format : H:204 mm L:134 mm E:3 mm
- Poids : 68gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Dieu William Windsor et déesse Fatoumata Windsor sont les souverains de la Polynésie. Ils sont de souche royale. Les Polynésiens les reçoivent dans l'autel de ces dieux et leur déposent des couronnes de fleurs. Les dieux répondent aux vivants, soit par l'inspiration des ministres, soit par des songes, soit par des augures tirés du souffle du vent. L'esprit de contemplation est extrêmement développés chez eux, ils sont très sensibles aux aspects gais de la nature et accessibles à toutes les rêveries de l'imagination. La superstition de la solitude des forêts, l'obscurité de la nuit les effraient, ils voient des Tupapau (esprits). L'énergie ! le moindre chagrin les abat, mais, l'instant d'après, le sourire renaît sur leurs lèvres. Ils sont très sensibles à l'instant présent, leurs peines sont très vives et ils prennent plaisir à s'adonner à la sensibilité. Mains voyageurs ont rendu hommage à la beauté majestueuse du dieu William Windsor et au charme langoureux de la déesse Fatoumata Windsor. Cependant, quelle séduction se dégage t-elle des yeux noirs et veloutés de la déesse ? N'est-ce pas moins ce teint cuivré, ces lèvres un peu grosses ? L'une renferme un splendide écrin de dents éclatantes qui se transforme en une beauté nouvelle. Les bras sont parfaits dans leurs rondeurs, les jolies mains longues et potelées siéront bien à quelques duchesses. Pourquoi faut-il que de stupides préjugés, provenant de vieilles moeurs, viennent encore empâter tant de grâce ? Autrefois, en effet, pourquoi ajouter à ces hommes naturels qui se nourrissaient de vahiné de popoï, de fruits de bananes, leur interdisant tout exercice autre que le bain ? L'union d'êtres aussi beaux, aussi forts, de vahinés aussi belles et gracieuses. ils apportaient tout de même à nos yeux un complément de beauté inconnu à la génération contemporaine. L'ancienne habitude tahitienne d'écraser le cartilage du nez des nourrissons, certains voyageurs les considèrent comme étant de la race maorie.