Édouard Glissant et la poétique des arts

EAN : 9782491641115
BANARE GERALDINE
Édition papier

EAN : 9782491641115

Paru le : 20 avr. 2022

30,00 € 28,44 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782491641115
  • Date Parution : 20 avr. 2022
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 550
  • Format : H:240 mm L:160 mm E:30 mm
  • Poids : 865gr
  • Résumé : Pourquoi et comment Édouard Glissant rallie-t-il les univers des peintres et des sculpteurs pour transcrire sa pensée poétique de la matière transmuable du Monde ? Entre 1956 et 2011, Édouard Glissant aura écrit plus d’une soixantaine de préfaces de catalogues d’exposition pour des galeries parisiennes : la galerie du Dragon (de 1956 à 1990), la galerie Le Point Cardinal (1979), la galerie Albert Loeb (1985), la galerie Patrice Trigano (1987), la galerie Thessa Herold (2002 et 2003), la galerie Templon (2004), la galerie Yvon Lambert (2007)… Il s’agissait avant tout d’inventorier, de rassembler un corpus littéraire et paralittéraire qui était jusque-là dispersé. L’enjeu de cet essai est de saisir la manière dont le poète réinvestit ces écrits liminaires ou de circonstance au cœur de son œuvre. Alain Baudot (1940-2021) auteur d’une Bibliographie annotée d’Édouard Glissant (1993) évoquera à ce titre la « reprise créatrice ».

    Dans cet ouvrage issu de sa thèse de doctorat (2020), Géraldine Banaré propose de décrypter la trame de ce geste scriptural polyphonique et protéiforme prolongeant cette relation inédite aux univers des peintres et des sculpteurs désignés par Édouard Glissant : le Cubain Jorge Camacho, le Chilien Roberto Matta, l’Argentin Antonio Seguí, entre autres. Une poétique des arts célébrant ces « imaginaires de la Trace » (Traité du Tout-Monde, 1997), à l’exemple de la Porte du Soleil, mégalithe préincaïque des hauteurs andines sur le site archéologique de Tiahuanaco en Bolivie, qui pourrait incarner la fusion alchimique et métaphorique entre les « Lieux », les imaginaires et les arts.
  • Biographie : Géraldine Banaré est docteure en arts plastiques et sciences de l’art de l’Université des Antilles (UA, Martinique). Titulaire du Capes d’arts plastiques, elle est lauréate du « Prix Mycéa 2018 » décerné par l’Université des Antilles, la Louisiana State Université (LSU, Baton Rouge, Louisiane) et l’Institut du Tout-Monde, récompensant le meilleur jeune chercheur.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.