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Enlevée par Boko Haram
EAN : 9782749928234
Paru le : 21 janv. 2016
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- EAN13 : 9782749928234
- Réf. éditeur : 620796
- Editeur : Michel Lafon
- Date Parution : 21 janv. 2016
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 205
- Format : H:226 mm L:140 mm E:19 mm
- Poids : 278gr
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Résumé :
~~POUR LA PREMIERE FOIS, LES DESSOUS DE BOKOHARAM
UNE ADOLESCENTE TEMOIGNE...~~En avril 2014, le mouvement extrémiste BokoHaram fait son entrée sur la scène médiatique en capturant 276 lycéennes. La communauté internationale s'indigne et proteste mais n'arrête pas les intégristes qui sèment la terreur au Nigéria.
Brillante élève de quatrième, Aïchatou suit les méfaits de BokoHaram sur Internet : " J'ai vu la vidéo où ils montraient les lycéennes capturées de Chibok. Je me disais que je subirais sûrement le même sort. "
Le 24 novembre 2014, sa vie bascule lorsque les terroristes font main basse sur Damask, sa ville natale au nord-est du Nigéria...
À 9 heures, des coups de feu retentissent.La mère d'Aïchatou se précipite dans l'école de sa fille ; elle sait que les guerriers sont là pour enlever les élèves jeunes et jolies. Toutes deuxse réfugient chez sa sœur et son beau-frère, considéré comme l'un des sages du village. Pari réussi, les femmes y sont à l'abri pour la nuit. Il faut à présent se sauver et tenter de rejoindre le Niger. Mais la mère et la fille tombent tour à tour dans une embuscade au cours de laquelle BokoHaram enlève 400 femmes et enfants de Damask.
Aïchatouraconte ici commentelle a été conduite dans une maison confisquée à ses propriétaires où,avec une quarantaine de jeunes filles, on l'a obligée à porter une tenue " plus conforme " à l'Islam, à un apprentissage intensif du Coran, aux travaux ménagers... Un rituel qu'elles ont suivi pendant trois semaines, jusqu'au jour de leur livraison à " l'époux ". Celui d'Aïchatouavait l'âge de son père. Elle a quitté une prison pour une autre.
Aïchatoua dûs'efforcer à un comportement exemplaire pour éviter tout ennui, même si intérieurement ellerefusait de se soumettre. Elle revient sur cette attitude qui lui a valu quelques minutes de liberté pour une balade, avec quatre de ses amies... L'occasion de s'enfuir, de rejoindre les frontières du Niger... et de retrouver sa famille.
L'adolescente se souvient de son premier geste, après avoir recouvré la liberté : " J'ai retiré le long hijab et j'ai demandé à ce qu'on le brûle. "
POUR LA PREMIERE FOIS, LES DESSOUS DE BOKOHARAM
UNE ADOLESCENTE TEMOIGNE...