Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Ennui et vanités
EAN : 9782414530915
Édition papier
EAN : 9782414530915
Paru le : 11 mai 2021
23,00 €
21,80 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782414530915
- Réf. éditeur : 1038571
- Date Parution : 11 mai 2021
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 326
- Format : H:204 mm L:134 mm E:25 mm
- Poids : 376gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Le texte présenté a été rédigé à partir de notes faites par un conquistador espagnol du XVIe siècle, Bernal Diaz, et librement réinterprétées. Quelle en est l'idée générale ? L'être humain ne peut vivre sans croyances. Celles-ci, dès qu'elles sont acceptées par une élite dirigeante, sont admises au rang de vérité. Pour les populations des pays conquis, leurs dieux ne pouvaient les trahir, car elles leur avaient accordé leur confiance. Pour les conquérants espagnols, leur divinité n'aurait su les induire en erreur, sinon pourquoi se serait- elle fait connaître à eux ? De sorte que pour ces derniers, leur vérité ne pouvait pas être mise en doute, étant donné qu'il ne s'agissait pas, selon leur conception, d'une croyance, ni même d'une certitude, mais d'un savoir. Dès lors, leurs actes se justifiaient par le but moral défini par celui-ci. Faire d'un objet de croyance un absolu ne mène toutefois qu'à un dogmatisme stérile. Mais s'interroger sur la notion d'absolu et la légitimité qu'elle a pu avoir par le passé n'est pas inutile à une époque où le relativisme semble être lui-même un article de foi. Ce qui a servi de référence aux conquistadors n'était pas une supposée supériorité raciale, le thème lié à la "race" leur était inconnu et n'est apparu que bien plus tard. Bien évidemment, tout au long de ce récit, a été pris comme base le point de vue des Espagnols ; les notes étant celles d'un Espagnol. Ainsi, la divinité chrétienne est écrite avec une majuscule, les populations locales sont nommées "mexicaines", Diaz n'employant pas le terme d'Aztèques.