Et la rivière le savait...

Mot Passant - EAN : 9782357922518
MINNE-BEAUVOIR
Édition papier

EAN : 9782357922518

Paru le : 10 avr. 2025

20,00 € 18,96 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 10 avr. 2025
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782357922518
  • Collection : LE COQUELICOT
  • Editeur : Mot Passant
  • Date Parution : 10 avr. 2025
  • Disponibilite : Pas encore paru
  • Nombre de pages : 352
  • Format : H:210 mm L:150 mm E:30 mm
  • Poids : 600gr
  • Résumé : En 1855, dans un village près de Lyon, Jeanne et Françoise disparaissent alors qu’elles lavaient du linge dans la rivière. Faute de corps et de traces d’agression, les gendarmes en déduisent un peu vite que les jeunes filles ont fugué dans l’espoir d’une vie meilleure. Lucien, le père de Françoise, influencé par le rapport de gendarmerie et par ce qui se dit sur Jeanne, décide contre l’avis de sa femme et avec son ami Fernand le meunier, de descendre en ville pour essayer de les retrouver. C’est en revenant bredouille que Fernand avoue que son fils Guillaume fréquentait Françoise en cachette. Alors qu’un abri pour les lavandières est en cours de construction, des ossements sont découverts sur le chantier. Une médaille permet d’identifier le squelette, c’est celui de la fille de la vieille Anaïs qui vit dans une masure non loin de la rivière. Il y a près de cinquante ans, Claudine avait disparu sans susciter beaucoup d’émotions auprès des villageois qui considéraient que sa mère n’était qu’une sorcière et elle, une souillon dévergondée qui avait fugué. Les jours passent, tandis que Joseph, le petit frère de Françoise s’introduit avec ses copains et son chien dans le château du Beaupré, une grosse maison bourgeoise, afin d’explorer le souterrain qui relie le bâtiment à l’église. Lorsque Jules Grimbert, le propriétaire, s’aperçoit de l’intrusion, il commence à avoir un comportement étrange. A-t-il un lien avec la disparition des deux jeunes filles ? Claudine, Jeanne et Françoise ont-elles disparu pour les mêmes raisons ? Que cache réellement Anaïs ? La rivière est-elle le seul témoin de ces drames ?
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.