Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
ETHIQUE : L'EUDEMONISME - SUIVI DE LE MYSTERE DU SACRIFICE OU L'HOMME EST CE QU'IL MANGE
Hermann - EAN : 9782705682644
Édition papier
EAN : 9782705682644
Paru le : 21 mars 2012
25,00 €
23,70 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782705682644
- Réf. éditeur : 1756364
- Collection : PHILOSOPHIE
- Editeur : Hermann
- Date Parution : 21 mars 2012
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 142
- Format : 0.00 x 14.00 x 21.00 cm
- Poids : 184gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Traduit par Anne-Marie Pin et préfacé par Roger Bruyeron Tout être vivant, selon Feuerbach, recherche les meilleures conditions de préservation et de sa reproduction. L'éthique consiste à suivre cet instinct du bonheur et s'accomplit donc dans l'amour de soi. L'être humain, en tant qu'être vivant, se construit en se conservant au mieux dans la conduite alimentaire (Le mystère du sacrifice, où L'homme est ce qu'il mange, 1851). Mais parce qu'il est doté d'une conscience, donc d'un pouvoir de séparation, cet instinct se dépasse dans l'amour du prochain (texte de 1869, traduit ici pour la première fois en français). Non pas l'amour que prône la religion qui sépare l'homme de lui-même en le séparant de son corps, de son pouvoir réel, mais l'amour naturel qui s'accomplit dans le rapport sexuel. Pour la première fois sans doute dans la pensée philosophique, ce dernier est perçu comme fondamentalement éthique, voire comme le véritable fondement de la morale. Reconnaissance immédiate dans le plaisir partagé, le rapport sexuel est la forme et le moment du dépassement naturel de l'égoïsme. En posant à sa manière la question du genre, Feuerbach a su trouver les mots justes pour rendre raison de l'heureuse différence des sexes et de l'impossibilité pour aucun d'eux de réduire l'autre à soi.