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Fantaisie (conducteur)
Symetrie - EAN : 9790231807486
Édition papier
EAN : 9790231807486
Paru le : 1 févr. 2014
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- EAN13 : 9790231807486
- Réf. éditeur : SYM-0748-6
- Editeur : Symetrie
- Date Parution : 1 févr. 2014
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 19
- Format : H:297 mm L:210 mm E:3 mm
- Poids : 75gr
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Résumé :
La Fantaisie pour trompette chromatique avec accompagnement de piano de Théodore Dubois est un morceau de concours écrit en 1920 pour le Conservatoire de Paris.
En 2010, Denis Comtet, directeur du Festival Ars Terra (Somme), en a commandé à Franck Villard une transcription pour trompette et quintette à cordes. Réalisée en janvier 2011 dans un esprit de grande fidélité au texte original, cette nouvelle version a été créée le 22 juillet 2011 par Romain Leleu (trompette) et l’ensemble Convergences (Arnaud Vallin et Cécile Peyrol-Leleu, violon ; Sylvain Durantel, alto ; Jérôme Lefranc, violoncelle et Yann Dubost, contrebasse) dans le cadre du festival Ars Terra en l’église Saint-Wulphy de Rue.
Cette transcription est également jouable par un orchestre à cordes. -
Biographie :
Théodore Dubois (1837-1924) eut pour professeurs de composition François Bazin, François Benoist et Ambroise Thomas au Conservatoire de Paris. Après l’obtention du premier prix de Rome en 1861 et un séjour de quatre ans en Italie, il devint maître de chapelle dans plusieurs églises parisiennes. C’est à ce titre qu’il composa la plus grande partie de sa musique religieuse (plusieurs messes, de nombreux motets, Les Sept Dernières Paroles du Christ, etc.) Nommé professeur d’harmonie au Conservatoire, il en devint directeur de 1896 à 1905 et sa postérité souffrit longtemps de cette charge administrative, doublée d’une nomination à l’Académie des beaux-arts.
D’inspiration éclectique, le style de Dubois, tout à la fois influencé par Franck, Schumann, Brahms et Saint-Saëns, s’épanouit avec un même talent au piano (Poèmes alpestres, deux concertos, Sonate, Études de concert, etc.), dans la musique de chambre (deux trios avec piano, quatuors à cordes et avec piano, Quintette pour hautbois, Trio à cordes et piano, mélodies…) et à l’orchestre (trois symphonies, Concerto pour violon, etc.) C’est finalement dans la musique vocale que Dubois eut le plus de mal à se faire connaître, excepté ses deux oratorios Les Sept Dernières Paroles du Christ et Le Paradis perdu.
Il laisse également plusieurs ouvrages pédagogiques.