Farces et Moralités

Comediatheque - EAN : 9782377051038
MIRBEAU OCTAVE
Édition papier

EAN : 9782377051038

Paru le : 31 août 2017

14,00 € 13,27 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant provisoirement
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782377051038
  • Réf. éditeur : 103
  • Collection : LIBRE THEATRE
  • Editeur : Comediatheque
  • Date Parution : 31 août 2017
  • Disponibilite : Provisoirement non disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 122
  • Format : H:180 mm L:120 mm E:7 mm
  • Poids : 119gr
  • Résumé : Recueil de six pièces en un acte jouées pour la première fois entre 1898 et 1904 : L'Épidémie, Vieux Ménage, Le Portefeuille, Les Amants, Scrupules, Interview.
    Utilisant la parodie, la satire ou la farce, Octave Mirbeau propose une critique féroce de la société bourgeoise de son époque, qui trouve d'étranges résonances avec le monde d'aujourd'hui. La modernité de l'écriture et des thèmes abordés préfigure à la fois le théâtre de Brecht et celui de Ionesco, tout en développant un humour très corrosif.
    Pour 2 à 10 comédiens ou comédiennes.
  • Biographie : Octave Mirbeau est né le 16 février 1848 à Trévières. Petit-fils de notaires normands et fils d’un officier de santé, Octave Mirbeau passe son enfance à Rémalard puis étudie au collège des jésuites de Vannes, d’où il est chassé dans des conditions suspectes, qu’il évoquera en 1890 dans son roman Sébastien Roch.
    Après son baccalauréat, il commence des études de droit qu’il n’achève pas et revient à Rémalard pour travailler chez le notaire du village. Il est mobilisé lors de la guerre de 1870 et racontera la débâcle dans plusieurs contes et romans autobiographiques.
    En 1872, il fait ses débuts de journaliste à Paris dans le quotidien bonapartiste l’Appel au peuple. Pendant douze ans, Octave Mirbeau écrit pour vivre dans différents journaux, dont il ne partage pas les opinions.
    En 1884, pour se remettre de sa rupture avec Judith Vinmer, passion racontée dans son premier roman officiel, Le Calvaire, Mirbeau part pour Audierne (Finistère) et y reste sept mois. À son retour à Paris, il commence à écrire pour son propre compte. Il devient chroniqueur, conteur et critique d’art influent pour divers journaux. Il écrit désormais des romans sous son propre nom : Le Calvaire, l’Abbé Jules, Sébastien Roch. Il épouse en secret Alice Regnault, une ancienne actrice de théâtre en 1887 ; sa vie conjugale est rapidement un échec.
    Octave Mirbeau s’engage dans le combat anarchiste. Il publie en feuilleton les premières version du Journal d’une femme de chambre et du Jardin des supplices, ainsi que Dans le ciel, un roman inspiré de la vie de Vincent Van Gogh.
    Il écrit sa première pièce Les Mauvais Bergers, créée au Théâtre de la Renaissance en décembre 1897 par Sarah Bernhardt et Lucien Guitry.
    Il s’engage aux côtés d’Emile Zola dans l’Affaire Dreyfus de manière très active : rédaction de pétitions, suivi du procès, participation à des réunions de soutien, chroniques dans l’Aurore…
    Il publie ensuite Le Jardin des supplices (1899), Le Journal d’une femme de chambre (1900) et Les 21 jours d’un neurasthénique (1901).
    Entre 1898 et 1904, Mirbeau fait aussi jouer six petites pièces en un acte, recueillies sous le titre de Farces et moralités (1904).
    En avril 1903, il connaît un triomphe avec la création, à la Comédie-Française, de la pièce Les affaires sont les affaires, qui rencontre également le succès en Allemagne, en Russie, aux Etats-Unis et dans d’autres pays.
    Après un procès, Octave Mirbeau fait représenter à la Comédie-Française, en décembre 1908, Le Foyer, pièce dénonçant l’exploitation des jeunes filles par des oeuvres dites charitables.
    Octave Mirbeau se retire à Triel et assiste avec désolation aux débuts de la première guerre mondiale. Il meurt le jour même de ses 69 ans, le 16 février 1917. Quelques jours plus tard, sa veuve fait paraître dans Le Petit Parisien un prétendu « Testament politique d’Octave Mirbeau » : il s’agit d’un faux document, écrit par Gustave Hervé. Les amis de Mirbeau dénoncent en vain ce faux.
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.