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Femmes sauvages
Oeil Femme Barb - EAN : 9791096401147
Édition papier
EAN : 9791096401147
Paru le : 9 oct. 2020
25,00 €
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- EAN13 : 9791096401147
- Réf. éditeur : 01-005
- Collection : RESTITUTIONS
- Editeur : Oeil Femme Barb
- Date Parution : 9 oct. 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 96
- Format : H:210 mm L:210 mm E:8 mm
- Poids : 420gr
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Résumé :
La démarche de Marie Christine Palombit s’articule autour de représentations « archétypales » de la Femme, qui avance guidée par sa nature profonde.
Dans sa peinture, elle développe des thèmes fondamentaux - la conception, les cycles de la vie, les instincts premiers - à travers les postures du corps. La lecture du livre "Femmes qui courent avec les loups" de Clarissa Pinkola Estés a été pour elle une véritable révélation ; elle y puise régulièrement lorsqu’elle ressent le besoin de se ressourcer ou d’approfondir des questions sur la psyché féminine.
En 2015, elle effectue un voyage en Arizona, aux États-Unis. Quarante femmes s’y sont retrouvées pour marcher dans le désert, pratiquer des rites amérindiens avec des indiens Navajos et suivre l’enseignement de « HO Rites de Passage ».
À son retour, nourrie des formidables moments qu’elle vient de vivre, elle entame une série de grandes peintures "Femmes sauvages entre ciel et terre, entre terre et ciel".
Enrichissant sa palette de pigments fluorescents, elle donne à ses oeuvres une double lecture : exposées à la lumière noire, elles révèlent une vision plus secrète, comme celle d’un territoire inconscient. Des détails apparaissent ou au contraire s’estompent ; les postures changent et l’histoire que ces femmes racontent n’est plus tout à fait la même...
Restitution de son expérience, cet ouvrage présente en vis-à-vis vingt peintures et leurs « doubles » en vision nocturne, enrichies de croquis et textes issus du carnet de voyage de l’artiste.
La lecture s’en effectue recto ou verso, selon qu’on le parcourt entre ciel et terre ou entre terre et ciel...
Sa sortie a été accompagnée d’une exposition des oeuvres chez Artcorpus, l’atelier interactif et foisonnant de Marie Christine Palombit, qui a fêté ses 15 ans en 2020. -
Biographie :
Marie Christine Palombit est née en 1957, probablement un crayon à la main - à en croire Sophie Verchère (1). Avant ses seize ans, son travail est récompensé dans des concours et salons auxquels sa mère l’a proposé. Dès lors, c’est avec pinceaux et crayons qu’elle choisit de s’exprimer.
En 1981, elle obtient son diplôme d’architecture d’intérieur à l’École Camondo où elle enseignera les arts plastiques dès la rentrée suivante. Elle fait la connaissance du peintre Ben Ami Koller et du sculpteur Gérard Bignolais qui l’encouragent à montrer son travail en galeries. En 1991, elle participe à sa première exposition en tant qu’artiste professionnelle et rompt avec l’architecture d’intérieur, mais poursuit l’enseignement à l’École Camondo, à l’École de la Nature et du Paysage de Blois et aux Ateliers Saint Sabin.
« Plasticienne, Marie-Christine Palombit a toujours eu du flair, non pour capter le mouvement mais pour le libérer par le génie de son geste. Elle poursuit cette quête artistique sans hésiter à prendre différents chemins esthétiques : le pinceau de calligraphie révèle les ombres cachées de l’encre, l’alchimie du collage expose la puissance des formes discontinues, l’art du pastel trace avec force la ligne des corps. Le trait est souffle de vie, inlassablement, dans chacune des œuvres de l’artiste. » (2).
Elle développe des thèmes fondamentaux - la conception, les cycles de la vie, les instincts premiers - à travers les postures du corps, sa fragmentation et sa re-composition. Sa démarche s’articule autour de représentations archétypales de la Femme, qui avance sous l’impulsion de sa nature instinctuelle. Sa création picturale, peinte ou photographiée, lui permet de se relier à sa nature première, celle que Clarissa Pinkola Estes appelle notre Nature sauvage ; cette nature pulsionnelle, qui nous ramène au plus profond de nous-même, à notre mythe personnel et à celui plus élargi de l’universel.
Dans ses dessins, le geste spontané et la quête de l’instant présent traduisent l’urgence de son inconscient à s’exprimer, lui offrant des clefs pour décoder son présent et en comprendre le sens, soudain révélé. Elle dessine ainsi son parcours avant même de l’avoir vécu... Ou la création comme rite de passage...
À partir de 2010 elle incorpore à sa palette des pigments fluorescents, donnant ainsi une double lecture à ses œuvres. Vues à la lumière du jour, elles représentent la forme immédiate des choses et des corps. À la lumière noire se révèle une lecture plus souterraine et détachée du réel, comme une version secrète, celle de notre territoire inconscient.
En 2005, elle crée aux portes de Paris à Montreuil, son atelier ARTCORPUS dans lequel elle réalise sa propre production et dispense chaque année cours et stages à un public fidèle et passionné.
(1) Sophie Verchère, fondatrice de C tout un art, agence de conseil et relations humaines
(2) Sophie Bertrand, maître de conférence associée à Paris IV La Sorbonne et responsable Gallica à la BNF.