Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Fénelon, les leçons de la fable
Belin Education - EAN : 9782130578420
Édition papier
EAN : 9782130578420
Paru le : 5 janv. 2010
15,00 €
14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782130578420
- Réf. éditeur : 254423
- Collection : CNED
- Editeur : Belin Education
- Date Parution : 5 janv. 2010
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : H:200 mm L:145 mm E:16 mm
- Poids : 238gr
- Résumé : Le XVIIe siècle s'achève. Précepteur du duc de Bourgogne, Fénelon sublime sa tâche pédagogique en procurant au petit-fils de Louis XIV une narration en forme de fable homérique. Relatant les aventures du jeune Télémaque parti à la recherche de son père, Ulysse, l'auteur place aux côtés du héros la figure de Mentor, incarnation de la parfaite Sagesse. C'est là transformer le voyage initiatique en itinéraire spirituel... Car le projet est bien celui d'un théologien chrétien. Quelques années auparavant, en 1674, Boileau, au chant III de son Art poétique, avait proscrit le merveilleux chrétien du champ littéraire : « De la foi d'un chrétien les mystères terribles/D'ornements égayés ne sont point susceptibles » (v. 199-200). En « fabuleux chrétien » recourant à l'allégorie, Fénelon donne ainsi à lire la leçon politique fondamentale : c'est la créature humaine que le futur roi doit réformer en lui avant d'espérer gouverner avec justice et clairvoyance. Au terme de ses aventures, Télémaque aura appris qu'il n'y a pas de victoire plus éclatante et moins glorieuse que celle que l'on emporte sur sa propre insuffisance.