Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
FIGURES DU DEUIL ET DU PHOTOGRAPHIQUE
EAN : 9782873176631
Édition papier
EAN : 9782873176631
Paru le : 3 oct. 2025
25,00 €
23,70 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 3 oct. 2025
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782873176631
- Date Parution : 3 oct. 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Nombre de pages : 272
- Format : H:1 mm L:120 mm E:180 mm
- Poids : 0gr
- Résumé : Cet essai développe une réflexion autour du photographique dans son lien à la mémoire et au deuil, qu’il soit intime ou d’ordre historique. Il montre que la photographie est une figure de deuil, autrement dit, elle fait à la fois coupe et lien. À travers un corpus restreint de trois films-essais, cet ouvrage analyse des figures de deuil et des gestes filmiques singuliers. Dans La Danse des souvenirs (2002), Naomi Kawase est confrontée à une mort intime. L’imbrication de clichés photographiques dans le film produit une suspension qui provoque un renversement dans cette trajectoire dont l’issue semblait fatale. La cinéaste use de la photographie comme une figure de lien qui permet de relier les vivants et les morts. Dans Ce répondeur ne prend pas de messages (1978), Alain Cavalier, incarne un homme endeuillé. Le cinéaste reprend un grand nombre de clichés photographiques tirées de ses archives personnelles, parmi lesquelles des coupures de journaux représentant des cadavres de la guerre. Dans ce geste de reprise, la problématique prend une dimension historique. À l’instar de la photographie devenue ici figure de coupe, le film déploie un ensemble de figures où la rupture insiste, participant d’un jeu de deuil. Avec Le Journal (1973-1982) de David Perlov, qui est enserré entre deux guerres, le texte aborde la problématique dans sa dimension politique. Le cinéaste israélien, qui est aussi photographe, utilise différents formats de photographies. Par ces gestes de reprises et de répétitions, le photographique permet une transformation de la figure qui autorise la séparation avec un passé traumatique