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Friedrich Engels et les peuples «sans histoire»
Syllepse - EAN : 9782849506929
Édition papier
EAN : 9782849506929
Paru le : 8 nov. 2018
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- EAN13 : 9782849506929
- Réf. éditeur : 909445
- Collection : MILLE MARXISMES
- Editeur : Syllepse
- Date Parution : 8 nov. 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Format : H:210 mm L:150 mm E:21 mm
- Poids : 498gr
- Résumé : Le rêve de l'Europe supra-étatique va-t-il se briser sur la question nationale? En Catalogne, en Écosse, en Corse et au Pays basque, des peuples affirment leur droit à vivre un destin que la mondialisation capitaliste ne peut pas satisfaire. Plus à l'Est, notamment en Ukraine et dans l'ex-Yougoslavie, la même question ébranle les dominations. Si le néolibéralisme unificateur bute sur ce renouveau de la question des droits des nations à disposer d'elles-mêmes, la gauche, radicale ou non, semble en peine pour offrir ses solutions. Circonstances qui ajoutent à la complexité de la question, toutes ces expressions nationalitaires ne sont pas portées par une vision émancipatrice. Pourtant, dès son essor, le mouvement ouvrier s'est emparé de cette question, notamment à la suite du Printemps des peuples de 1848. Parmi les principaux acteurs de la scène politique de l'époque, Friedrich Engels s'attache plus particulièrement à analyser la question nationale et produit le déconcertant concept de peuples «sans histoires», lesquels «n'ont pas été capables de constituer des États et n'ont plus suffisamment de force pour conquérir leur indépendance nationale» qu'il oppose aux nations «révolutionnaires». C'est cette thèse que réfute Roman Rosdolsky dans cet ouvrage resté inédit en français.
- Biographie : Né à Lemberg (ville d'Ukraine alors en Galicie autrichienne) en 1898, Roman Rosdolsky est mort à Détroit (États-Unis) en 1967. Membre du Parti communiste ukrainien, proche de Léon Trotsky, arrêté par les nazis et déporté à Auschwitz. Libéré, il rejoint les États Unis où il met à jour les Grundrisse de Marx alors inconnus.