Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Friedrich Nietzsche et Sils Maria ou l'éternel retour
Ovadia - EAN : 9782363920157
Édition papier
EAN : 9782363920157
Paru le : 15 déc. 2012
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782363920157
- Editeur : Ovadia
- Date Parution : 15 déc. 2012
- Disponibilite : Disponible
- Nombre de pages : 120
- Format : H:210 mm L:210 mm E:10 mm
- Poids : 300gr
-
Résumé :
Fuyant Nice, cité estivale et maintenant tropicale, Nietzsche cherche et découvre, dès 1881 un site précieux qui stimule sa pensée et où il lui semble retrouver une forme de santé : Sils-Maria au cœur de l’Engadine. Cette modeste localité agreste se situe à une vingtaine de kilomètres de Saint-Moritz et se trouve prise entre deux lacs : celui de Sils et celui de Silvaplana. Il apprécie au-delà de toute expression la paix si particulière des montagnes et des forêts. La courbe de son plaisir ne cessera de s’élever longtemps encore et il ne se lassera pas de célébrer ce lieu aimable et bien-aimé. Il y passera son dernier été en 1888 avec encore toute sa raison, mais si près de la perdre (janvier 1889).
Dans cette magnifique région le philosophe jette les fondements de son grand œuvre : dès 1884 il entreprend la deuxième partie de Ainsi parlait Zarathoustra, en 1885 il y commence la rédaction de Par-delà le bien et le mal, en 1887 il y brosse sa Généalogie de la morale et enfin en 1888 le Cas Wagner et Le crépuscule des idoles.
Mais l’essentiel n’est peut-être pas plutôt dans le paysage sylvestre et montagnard, que dans un certain paysage mental. C’est ainsi qu’un simple rocher posé au bord du lac de Silvaplana va devenir une sorte de symbole connu sous le nom de rocher de Surlej, auquel adossé quelques instants, Nietzsche rencontre Zarathoustra, rencontre éblouissante et fatale, qui restera son ombre à jamais...