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GariGari
Cornelius - EAN : 9782360812325
Édition papier
EAN : 9782360812325
Paru le : 10 avr. 2025
27,50 €
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- EAN13 : 9782360812325
- Réf. éditeur : 369497
- Collection : SOLANGE
- Editeur : Cornelius
- Date Parution : 10 avr. 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 184
- Format : H:291 mm L:220 mm E:23 mm
- Poids : 989gr
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Résumé :
Dans un Japon médiéval peuplé de créatures étranges, la guerre entre deux clans menace. Pour éviter l’escalade de violence, un jeune ninja aux talents extraordinaires est missionné pour infiltrer le camp adverse et s’emparer de la flèche, seul indice de l’accident qui a mis le feu aux poudres…
Dans cette épopée haletante et entièrement muette, Hugues Micol nous plonge dans un Japon médiéval fantastique et fantasmé, peuplé de batraciens géants, de poissons mutants et de yôkai anthropomorphes. Il y convoque les codes du chanbara, tels qu’on peut les retrouver dans les films d’Akira Kurosawa, pour dessiner des scènes de combats aériens spectaculaires aux cadrages vertigineux.
Hugues Micol réinvente une nouvelle fois son trait si caractéristique en puisant son ambition dans la gravure, laissant libre cours à des impulsions visuelles inédites et jubilatoires. Un chef-d’œuvre graphique à couper le souffle !
- Biographie : Hugues Micol, après une naissance à Paris en 1969, occupe son enfance à dessiner. Se destinant à une carrière de prestataire graphique, il improvise vers la trentaine une bande dessinée tracée sans crayonnés, au fil du feutre. Romanji est une course poursuite muette et délirante qui lui apprend qu’il a tout à apprendre mais qu’il est fait pour cet apostolat. Désireux de se faire quelques contacts dans un métier dont il ignore tout, il range sa fantaisie dans un tiroir et élabore un projet plus classique, qu’il soumet à différents éditeurs par voie postale. Il n’obtient pas de réponses positives, la majorité de ses interlocuteurs regrettant le caractère trop original de sa proposition. Il ne s’en trouve qu’un pour penser l’inverse, Cornélius, qui voit dans cet envoi un véritable potentiel mais regrette le caractère trop classique du projet. Hugues Micol n’en croit pas ses oreilles et, comprenant qu’il a affaire à un fou, ressort sa fantaisie improvisée du tiroir où il l’avait remisée. Cornélius choisit aussitôt de publier cette expérience, dont il salue la liberté de trait et dans laquelle il reconnaît le présage d’un futur grand auteur. De cette grande sagacité et de ce manque de clairvoyance commerciale naîtra une relation forte et durable, qui donnera deux suites à ce livre que rien ne destinait à la publication.
