Gaspard de la nuit (grands caractères)

Ligaran - EAN : 9782335011319

BERTRAND ALOYSIUS

Skip to the end of the images gallery

Skip to the beginning of the images gallery

Édition papier

EAN : 9782335011319

Paru le : 20 janv. 2015

19,99 € 18,95 €

Disponible

Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous

Notre engagement qualité

Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande
Manquants maintenus
en commande
automatiquement
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h

Détails

EAN13 : 9782335011319
Réf. éditeur : 641637
Editeur : Ligaran
Date Parution : 20 janv. 2015
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 136
Format : H:234 mm L:156 mm E:9 mm
Poids : 244gr

Résumé

Résumé : Gaspard de la nuit est un recueil de poèmes en prose écrit par Bertrand Aloysius. Ce livre, dans sa version en grands caractères, offre une expérience de lecture agréable pour les personnes ayant des difficultés de vision. L'oeuvre est inspirée par le poème éponyme d'Aloysius Bertrand, et nous plonge dans un univers sombre et mystérieux, où se mêlent rêverie, fantastique et horreur. Les poèmes décrivent des scènes étranges et surnaturelles, mettant en scène des personnages énigmatiques et des paysages inquiétants. Avec une plume poétique et envoûtante, Bertrand Aloysius nous transporte dans un monde onirique où se côtoient la beauté et la laideur, la lumière et l'obscurité. Les lecteurs seront fascinés par la richesse des images et la musicalité des mots, qui évoquent tour à tour la peur, la fascination et l'émerveillement. Gaspard de la nuit est un ouvrage captivant qui séduira les amateurs de poésie, de littérature fantastique et de mystère. Une lecture immersive et envoûtante, à savourer sans modération. Impression en « gros caractères ». Extrait : "Deux ladres se lamentaient sous ma fenêtre, un chien hurlait dans le carrefour, et le grillon de mon foyer vaticinait tout bas. Mais bientôt mon oreille n'interrogea plus qu'un silence profond. Les lépreux étaient rentrés dans leur chenil, aux coups de Jacquemart qui battait sa femme. Le chien avait enfilé une venelle, devant les pertuisanes du guet enrouillé par la pluie et morfondu par la bise. "