Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Grammaire niçoise (poche)
Serre - EAN : 9782864106371
Édition papier
EAN : 9782864106371
Paru le : 28 oct. 2017
10,00 €
9,48 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782864106371
- Editeur : Serre
- Date Parution : 28 oct. 2017
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 152
- Format : H:170 mm L:120 mm
- Poids : 310gr
- Résumé : Professeur d'histoire et de géographie, à Cannes d'abord puis à Nice, au Parc Impérial et à Masséna, André Compan (1921-2010) fut l'un des tout premiers enseignants français à se préoccuper de culture régionale. Mettant à profit la promulgation de la loi Deixonne, en 1951, il s'investit immédiatement dans l'enseignement du Niçois et du Provençal à une époque où l'on distribuait encore allègrement punitions et vexations à ceux qui usaient de ces «patois» à l'école. C'est encore grâce à lui que la langue d'Oc fit son entrée à l'Université, au tout début des années 70. Il y dirigea de nombreux travaux de recherches, maîtrises et doctorats, suscitant ainsi d'aussi nombreuses vocations, qu'il put apprécier à leur juste valeur quand il fut nommé Conseiller du Recteur pour les langues régionales et inspecteur général de leur enseignement pour l'Académie de Nice. Majoral du Félibrige, membre éminent de l'Academia Nissarda, collaborateur de la Revue des Langues Romanes, André Compan était l'auteur de très nombreux ouvrages consacrés à notre région. Spécialiste de philologie, latiniste de haut niveau, il consacra sa thèse de doctorat d'université à la Chronique niçoise de Jean Badat, après avoir publié une édition critique des œuvres de Rancher. Passionné de toponymie et de patronymie, il soutint en Sorbonne sa thèse de doctorat d'état sur les noms de personne dans le Comté de Nice au Moyen-Age et la publia chez Serre en 2004.