Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Gratuité du crédit
EAN : 9791041929283
Édition papier
EAN : 9791041929283
Paru le : 11 mai 2023
18,00 €
17,06 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791041929283
- Réf. éditeur : 283110
- Date Parution : 11 mai 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 226
- Format : H:210 mm L:148 mm E:12 mm
- Poids : 299gr
- Résumé : " Tous les principes d'économie sociale que vous avez propagés avec un talent si remarquable concluent forcément, inévitablement, à l'aboli- tion de l'intérêt ou de la rente. Curieux de savoir par quelle étrange contradiction votre logique, toujours si vive et si sûre, reculait devant cette conclusion définitive, j'interrogeai votre pamphlet intitulé : Capital et Rente, et je m'aperçus, avec une surprise mêlée de joie, qu'il n'y avait plus entre vous et nous que l'épaisseur d'une simple équivoque. — Cette équivoque porte tout entière sur la confusion de deux choses cependant bien distinctes, l'usage et la propriété."
- Biographie : Frédéric Bastiat, né le 30 juin 1801 à Bayonne et mort le 24 décembre 1850 à Rome, est un économiste, homme politique et magistrat français. Rattaché à l'école libérale française, il est entré tardivement dans le débat public, il marque la France du milieu du xixe siècle en prenant part aux débats économiques : il collabore régulièrement au Journal des économistes et entretient une polémique virulente avec Proudhon. Élu à l'Assemblée, il participe à la vie politique française en votant tantôt avec la gauche, tantôt avec la droite. Il développe une pensée libérale, caractérisée par la défense du libre-échange ou de la concurrence et l'opposition au socialisme et au colonialisme. Il est considéré comme un précurseur de l'école autrichienne d'économie et de l'école des choix publics. Au xxe siècle, il est abondamment cité par le courant minarchiste. Tombé dans un oubli relatif en France, il bénéficie en revanche d'une renommée internationale, en particulier grâce à ses Harmonies économiques.Dans une lettre à Alphonse de LamartineNote 5, il se range sous la bannière de l'école économiste ou libérale, aux côtés d'Adam Smith, David Ricardo, Thomas Malthus, John Stuart Mill, Thomas Jefferson, Jeremy Bentham, Nassau William Senior, Richard Cobden, George Thompson, William Huskisson, Robert Peel, Destutt de Tracy, Jean-Baptiste Say, Charles Comte, Charles Dunoyer, Joseph Droz. Frédéric Bastiat mentionne d'ailleurs régulièrement Adam Smith et Jean-Baptiste Say, comme les économistes qui ont nourri sa pensée, bien qu'il soit très critique à l'égard de leurs théories de la valeur et des conséquences qui en découlent. Plus proches de lui, il cite également, à maintes reprises, Charles Comte et Charles Dunoyer (les fondateurs du journal le Censeur) sur lesquels il ne tarit pas d'éloges. Frédéric Bastiat sera également influencé par Henry Charles Carey sur les questions de rente foncière. Carey accusera l'auteur des Harmonies économiques, d'avoir plagié son ouvrage Harmonies des intérêts, accusation dont Bastiat se défend dans une lettre adressée au Journal des Économistes. À l'instar de Carey, Bastiat se montrera critique envers la théorie de la rente foncière de David Ricardo qui procède, selon Bastiat, de sa théorie erronée de la valeur.