Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Ils sont moches
EAN : 9782723480673
Paru le : 26 janv. 2011
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782723480673
- Réf. éditeur : 7445323
- Collection : HUMOUR
- Editeur : Glenat
- Date Parution : 26 janv. 2011
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 64
- Format : H:270 mm L:210 mm E:7 mm
- Poids : 286gr
-
Résumé :
C'est pas beau de se moquer.
On a tous envie de s'en prendre à son prochain : parce qu'il est con, envahissant, stupide… Et puis surtout parce qu'on ne le comprend pas toujours. Reiser lui aussi les trouve souvent nuls, ses contemporains, mais il les comprend plutôt bien. Et au contraire de ses personnages qui se crient dessus ou se font des coups en douce, lui en fait des dessins. Des dessins pas bêtes ni méchants mais plutôt tendres et intelligents, et qui servent à défouler et faire réagir. Outre des planches de BD, cet album recueille des illustrations de ce spécialiste du trait qui fait mouche, toutes publiées dans "Hara Kiri".
-
Biographie :
Génie de la bande dessinée et du dessin de presse, le trait de Reiser fit mouche dans un grand nombre de revues, pour la plupart contestataires et anticonformistes (Hara-Kiri, Charlie Hebdo, Pilote, La Gueule Ouverte, Charlie Mensuel, Métal Hurlant, L'Écho des savanes...). Reiser croquait les gens ordinaires avec un humour très cru pour l'époque, et souvent avec un mauvais goût assumé, sans jamais s'autocensurer et en riant aussi bien de la misère que de la mort, mais surtout, d'abord et avant tout, de la connerie humaine. Il a reçu le Grand Prix de la Ville d'Angoulême en 1978 pour l'ensemble de son œuvre. Il a disparu prématurément en 1983.