Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
J'aime le sport de petit niveau - Entretien
EAN : 9782749165127
Paru le : 5 mars 2020
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782749165127
- Réf. éditeur : 734399
- Collection : HOMO LUDENS
- Editeur : Cherche Midi
- Date Parution : 5 mars 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 96
- Format : H:181 mm L:114 mm E:11 mm
- Poids : 88gr
-
Résumé :
Le sport et la résilience.
" La résilience par le sport, c'est la métamorphose du handicap auquel on ne se soumet pas, et qui nous conduit ainsi à la réparation narcissique. Au concept de "morale sportive", je préfère celui d'empathie, dans lequel je me représente le monde de l'autre. Même sans loi, quelque chose m'empêche. Dans le sport, c'est le règlement qui freine, et non le sujet lui-même. L'empathie est plus morale que le sport.
J'aime le sport de "petit niveau' parce qu'il socialise, il moralise, il produit une relation humaine, et fait naître une épopée. "
Par le prisme du sport, qu'il a pratiqué jeune adulte, Boris Cyrulnik nous entretient de la " condition humaine ", avec la bienveillance qui le caractérise.
Phénomène social majeur du xxe siècle, le sport constitue à ses yeux un magnifique terrain de reconstruction. Le concept de résilience, qu'il a fait connaître, trouve dans le sport une application exemplaire.
Son approche anthropologique le conduit aussi à former l'hypothèse de la naissance des conventions de jeux dès l'avènement de la conscience de l'autre chez l'enfant, et du plaisir qui jaillira de se mesurer à lui. Ainsi, ce " protosport " de l'Homo ludens s'enracinerait dans l'être en devenir dès les premiers temps de l'humanité.