Je m'appelle…

Du Net - EAN : 9782312005621

RHH

Skip to the end of the images gallery

Skip to the beginning of the images gallery

Édition papier

EAN : 9782312005621

Paru le : 4 déc. 2012

15,00 € 14,22 €

Disponible

Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous

Notre engagement qualité

Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande
Manquants maintenus
en commande
automatiquement
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h

Détails

EAN13 : 9782312005621
Editeur : Du Net
Date Parution : 4 déc. 2012
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 204
Format : H:150 mm L:230 mm E:15 mm
Poids : 288gr

Résumé

Résumé : L’histoire trace une diagonale entre la Normandie et l’Ile de Beauté de 1946 à 1982. Quand elle s’éveille à l’existence, la petite Annie ignore tout du terrible parcours de ses parents et de l’incidence qu’il aura sur sa vie d’adulte. Elle a tout juste cinq ans lorsqu’elle fait pour la première fois, la douloureuse expérience de la violence et de son cortège de dommages. Après avoir survécu aux affres d’une enfance à l’horreur dissimulée, puis composé adulte avec les vieux démons de son existence, devenue Rosaglia, elle entreprend de remonter le fil de son mystérieux passé pour mettre en lumière la douloureuse vérité de son histoire. Cet ouvrage demande à être lu par un public averti.
Biographie : Longtemps, j’ai su bien me mentir, et je m’y suis cru. Autodidacte convaincue, quelques diplômes de-ci, de-là, histoire de singer ou d’étancher la soif des bien-pensants, ou pire de me caler presqu’indéfectiblement au moule du politiquement correct, je savais que j’avais une histoire à raconter. Il a fallu dépasser le cadre presque fade de la trentaine pour que j’obtienne une première entrevue avec l’Auteure. Le temps a passé, les rides se sont inclinées jusqu’à ce que…Cet été là Place Du Tertre, je regarde les touristes en pause, devant un chevalet. Ils assistent visiblement séduits, au parachèvement d’un dessin. Le peintre détient l’emphase gestuelle et l’œil abstrait des artistes de l’agora. L’instant dépassé, ma vision est comme happée par l’apparente fuite du regard, dans le portrait du modèle. C’est tout à la fois ma curiosité et ma pudeur qui subliment mon instinct. J’ose pourtant à peine regarder plus avant. Il y a dans ce regard traduit, une expression si lointaine et si proche, presque... intérieure. Je tente une percée et je crois y lire cette chose indicible qui semble vouloir survivre, je m’y amarre et… c’est là que… je prends peur. Elle, me fait penser à…Cette troisième personne, ce pronom personnel… Elle, là sur la toile, vue, lue, écrite sous le pastel du peintre romain, sous ce soleil parisien, Elle… Vingt minutes auparavant, avait accepté la pose, et n’imaginait pas les présentations qu’elle suggérerait. Elle, … ce 15 août 2005, c’est moi. Quelle rencontre !Depuis, je n’ai eu de cesse de rechercher le début et la fin de ma propre histoire : ce regard qui en dit si long, a définitivement attisé le feu de ma curiosité et l’envie fougueuse et implacable de ne plus jamais me taire. Les mots parlés sont aisés, les lettres posées les unes après les autres inscrivent définitivement la mémoire et aide aux souvenirs.Depuis… j’écris.