Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
JEAN NABERT ET LA QUESTION DU DIVIN
Cerf - EAN : 9782204073455
Édition papier
EAN : 9782204073455
Paru le : 27 nov. 2003
29,00 €
27,49 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782204073455
- Réf. éditeur : 774165
- Collection : PHILOSOPHIE ET
- Editeur : Cerf
- Date Parution : 27 nov. 2003
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Format : H:215 mm L:135 mm E:13 mm
- Poids : 210gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Depuis le début des années 1990, la mémoire de Nabert s'est comme réveillée. Ses ouvrages principaux ont été réédités, plusieurs traductions, italienne, espagnole, japonaise et portugaise ont vu le jour, plusieurs colloques ont été organisés sur son oeuvre en février 2001, a été créé à l'Institut catholique de Paris un « Fonds Jean-Nabert » voué à la promotion des études nabertiennes et rejoint par un réseau international de chercheurs. Le génie du philosophe discret se dévoile désormais un peu plus. Jean Nabert s'est éteint le jeudi 13 octobre 1960 dans sa petite maison de Bretagne, après avoir été inspecteur général et professeur de khâgne au lycée Henri-IV, unanimement vénéré par ses étudiants. Il laisse une oeuvre d'une rare densité. La philosophie réflexive dont il se réclame l'a irréversiblement conduit vers les domaines de l'éthique et de la religion. En portant critiquement la raison à sa limite, il thématise avec une force inouïe ce qu'il appelle l'« Injustifiable », c'est-à-dire la catégorie du mal absolu, le schème de l'excès qui invalide toutes les évaluations, y compris celles du pessimisme moral. Par la philosophie pratique originale qu'il met ainsi en oeuvre, gardant prise sur l'expérience de la finitude, il cherche à fonder un nouveau dispositif catégorial permettant de repenser le statut de la conscience religieuse et d'honorer le programme d'une « critériologie du divin ». Par son effort de ressaisie systématique et son exigence de problématisation, cet ouvrage voudrait, à sa manière, s'inscrire dans le mouvement actuel de renouveau des études nabertiennes et lui apporter contribution. Il offrira certes aux étudiants le cadre de référence guidant la lecture d'une pensée parmi les plus exigeantes, mais aussi, il devrait servir le double débat portant sur la question philosophique de Dieu et sa thématisation théologico-religieuse.