Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Journal du Missouri
Table Ronde - EAN : 9782710304111
Édition papier
EAN : 9782710304111
Paru le : 13 févr. 1990
17,10 €
16,21 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782710304111
- Réf. éditeur : I21751
- Collection : LES MATINS DU M
- Editeur : Table Ronde
- Date Parution : 13 févr. 1990
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 300
- Format : H:215 mm L:135 mm E:22 mm
- Poids : 310gr
- Résumé : Traverser les Appalaches, descendre le fleuve Ohio, puis gagner Saint Louis par le Mississippi, et de là remonter le Missouri aussi loin que possible sur un bateau de trappeurs, s'enfoncer en territoire indien jusqu'à la Yellowstone River et, si le sort est favorable, peut-être même gagner les Rocheuses, en dessinant tout au long les espèces sauvages - qui ne rêverait devant pareil projet ? Depuis son voyage au Labrador, en 1833, Audubon n'a guère entrepris de grande expédition. La livraison des planches de ses Oiseaux d'Amérique, les problèmes financiers, malgré sa renommée, sans compter la mise en chantier de son Omichological Biography, lui ont pris tout son temps ces dix dernières années. Pourtant un autre projet, né en 1839 : s'enfoncer dans l'ouest lointain, au coeur du "Wilderness", au plus près de la pure "sauvagerie", et puis en revenir avec ce qui sera, il en est persuadé, sa grande oeuvre : Les Quadrupèdes vivipares d'Amérique du Nord. Là-bas, passé les derniers campements de trappeurs, quelque chose l'appelle, songe-t-il, une force obscure, terrifiante et splendide, légère comme le frisson du vent sur les eaux d'une rivière, dans le premier matin du monde, mais formidable aussi, capable de tout détruire, comme le tourbillon furieux des grands buffalos martelant la prairie - cette force même, maintenant il le sait, qui l'a mené toute sa vie, à laquelle chacun de ses dessins n'aura été qu'une esquisse de réponse.