Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
JUSTICE !
Le Bas Du Pave - EAN : 9782490545124
Édition papier
EAN : 9782490545124
Paru le : 3 oct. 2022
8,50 €
8,06 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 3 oct. 2022
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782490545124
- Réf. éditeur : 014
- Collection : MEMOIRE DU PAVE
- Editeur : Le Bas Du Pave
- Date Parution : 3 oct. 2022
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 96
- Format : H:145 mm L:105 mm E:8 mm
- Poids : 70gr
-
Résumé :
Rescapé de la Semaine sanglante, c’est en exil à
Londres que P. F. Borgella, aide de camp de Rossel
pendant la Commune, rédige l’un des textes les plus
puissants sur les horreurs de la répression et des
crimes de l’armée versaillaise et du gouvernement
de Thiers. Des pages écrites à chaud pour que Justice
soit rendue aux victimes de la barbarie bourgeoise,
et pour que les vérités ne soient elles aussi ensevelies
dans les charniers de l’Histoire.
« Quand nous en avions un tas, de ces voyous,
que l’on trouvait dans les greniers et les caves,
on creusait pour eux, un énorme trou de 5 mètres
de diamètre, sur 1 mètre 60 c. de profondeur.
« Nos gendarmes, alors, les poussaient à coups
de crosse dans le trou, où ils en empilaient tant
qu’il en pouvait tenir. Puis, reculant de deux pas,
ils faisaient feu à volonté dans le tas.
« Tant que ça grouillait, nous tirions... » -
Biographie :
Pierre Frédéric Borgella (né le 9 mai 1833 à Bagnèresde-
Bigorre, Hautes-Pyrénées, décédé le 27 novembre
1901 à Montrouge, Hauts-de-Seine) servit la Commune
de Paris en tant qu’artilleur. Le 15 avril 1871, il était
chef d’escadron, commandant l’artillerie de l’École militaire,
et le 19 avril il commandait la batterie de Clichy.
Promu lieutenant-colonel commandant l’artillerie, il fut
l’aide de camp de Rossel au ministère de Guerre. Il était
par ailleurs un ami personnel de Cluseret.
Le 16e conseil de guerre le condamna par contumace,
le 15 novembre 1872, à la déportation dans une enceinte
fortifiée. Il avait toutefois réussi à déjouer les
recherches et à gagner l’étranger. Il semble qu’il ait
d’abord séjourné en Angleterre fin 1871, avant de gagner
la Belgique. Son arrivée à Ixelles est en effet signalée en
date du 25 août 1873.
Après son retour en France, il devint relativement célèbre
comme peintre orientaliste et exposa ses toiles
dans différents salons parisiens.
Il épousa en 1892 Marie-Louise Legros, avec qui il eut
un fils prénommé Léon-Henri.