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Kometa 6 - Même les dictateurs ont peur des femmes
EAN : 3770032113104
Édition papier
EAN : 3770032113104
Paru le : 19 mars 2025
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- EAN13 : 3770032113104
- Réf. éditeur : 7213340
- Date Parution : 19 mars 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : M
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Résumé :
Les tyrans ont peur des femmes
Un dossier dirigé par Laure Adler
Au lendemain de l’élection de Trump, l’autrice américaine Siri Hustvedt disait face caméra à la Grande Librairie : « Il faut remarquer que lorsque l’autorité masculine n’est pas remise en cause, il n’est pas nécessaire de crier. Les bruyantes attaques de Trump traitant les femmes de « grosses truies, de chiennes et d’animaux dégoûtants » qui participent à une « chasse aux sorcières » massive contre lui ont toujours visé des femmes qui occupent de véritables positions de pouvoir. »
À chaque fois que la démocratie recule, les droits des femmes reculent d’autant. En Afghanistan, en Iran, en Russie, aux Etats-Unis mais aussi au cœur de l’Union Européenne, dans ce continent qui bascule vers le populisme et l’extrême-droite, les femmes perdent ce qu’elles avaient gagné au fil des décennies. Pourquoi font-elles encore peur aux tyrans -politiques ou domestiques ? Cette peur est-elle un simple instrument politique ? Les tyrans font-ils des femmes un ennemi parce qu’ils ont peur de leur propre fragilité ?
Rencontre
Etgar Keret, écrivain israélien, vit à Tel Aviv. Dans ses romans bourrés d’autodérision, il évoque ses parents survivants de la Shoah, sa sœur ultraorthodoxe et mère de famille nombreuse, son frère antisioniste d’extrême-gauche. Lui se décrit comme un libéral de gauche et ne soutient pas la guerre à Gaza, ni Netanyahou. Mais son fils a tout juste 18 ans et devra bientôt faire son service militaire.
Correspondance
« Comment ça va ? » « Toujours vivants ! » Rami Abou Jamous, journaliste, resté dans la bande Gaza avec femme et enfants, écrit à Dominique Eddé, écrivaine libanaise. Une conversation épistolaire poignante entre Deir Albalah et Beyrouth.
Série
La fin des oligarques
Christophe Boltanski poursuit sa plongée dans le monde impitoyable des oligarques, avec un 4e épisode consacré à Konstantin Malofeïev, qui dirige la plus grande fondation privée de Russie.
Perspectives
Quand l’État est défaillant, la Mafia devient l’État. Quand l’État est totalitaire, il s’appuie sur le monde des voyous. Le goulag était tenu par la pègre, Vichy utilisait les malfrats pour ses basses besognes, Bachar al-Assad aussi. Le crime organisé est-il une fatalité ? Comment faire reculer son pouvoir ? Avec l’écrivain Roberto Saviano, icône de la lutte anti-Mafia.
Allons-y
À Ljubljana, on fait la révolution à bicyclette. La capitale slovène à travers les yeux de l’écrivaine Brina Svit, qui a écrit Les cycles de la révolte (Gallimard, 2024).