Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
L'Adieu à Bugatti
Albin Michel - EAN : 9782226115669
Édition papier
EAN : 9782226115669
Paru le : 3 mai 2000
15,00 €
14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782226115669
- Réf. éditeur : 6062236
- Collection : ROMANS FRANCAIS
- Editeur : Albin Michel
- Date Parution : 3 mai 2000
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 224
- Format : H:225 mm L:145 mm E:18 mm
- Poids : 328gr
-
Résumé :
Au début de l'année 1916, dans son atelier de Montparnasse, le sculpteur Rembrandt Bugatti rédige une longue lettre avant de se donner la mort. Elle est destinée à son frère, Ettore, célèbre constructeur automobile. À travers cette ultime et fervente invocation, Patrice de Méritens retrace le tragique et fascinant destin de ce jeune sculpteur disparu à l'âge de trente et un ans. Issu d'une famille d'artistes milanais, cet enfant mal aimé connaîtra en effet une trajectoire fulgurante. À Milan, dans l'ombre de Troubetzkoy, le "prince sculpteur", puis à Paris sous l'oeil admiratif de Rodin, où il se lie à Modigliani, Montesquiou, Proust, ou encore au Duc de Gramont. Ettore, lui, a depuis longtemps épousé la femme qu'il aimait, dont Rembrandt était aussi amoureux. L'un est au firmament des arts, l'autre à la pointe du modernisme. Étranges similitudes qui pourtant laissent déjà apparaître les différences : il y aura toujours l'homme riche et l'homme pauvre...
Passionnant portrait d'une époque révolue mais aussi d'une famille d'artistes, L'adieu à Bugatti évoque avec finesse l'inaltérable lien qui unit deux frères. Un premier roman profond et sensible, dont se dégage une troublante impression d'authenticité, qui laisse surtout entendre la voix peu connue d'un homme trop fragile, hanté par une quête dont il redoute l'aboutissement.