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L'Année Céline 2021
Lerot - EAN : 9782355481659
Édition papier
EAN : 9782355481659
Paru le : 3 juin 2022
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- EAN13 : 9782355481659
- Editeur : Lerot
- Date Parution : 3 juin 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 400
- Format : H:220 mm L:160 mm E:15 mm
- Poids : 470gr
-
Résumé :
L’Année Céline est devenue au fil du temps la plus importante revue consacrée en France à un écrivain
moderne. Elle n’est disponible qu’en volumes cousus et non coupés, telles que sont parues de son vivant
toutes les œuvres de Céline.
Le 32e volume de L’Année Céline vient de paraître. Il compte 400 pages abondamment illustrées, réparties,
selon la présentation établie de longue date, entre les textes retrouvés de Céline, les études, les documents
et la chronique bibliographique de l’année.
Sont présentées 38 lettres inédites de Céline, parmi lesquelles une correspondance jusqu’à présent
totalement inconnue avec la danseuse russe Marie Tchernova (1936-1941), une carte postale envoyée à
son oncle par le jeune Louis Destouches dès son arrivée à Diepholz (1907) où il sera scolarisé pendant un
an, une lettre à l’inattendu Charles Vildrac (1936), ainsi que des lettres retrouvées adressées à son avocat
Mikkelsen, à son ami Daragnès, à Paul Marteau, ou à Georges Geoffroy... Ce dernier, qui avait partagé la
vie de Destouches à Londres en 1915, est l’objet d’une étude de Gaël Richard qui apporte des précisions
sur la vie quotidienne des deux jeunes gens, transposée dans Londres (à paraître à l’automne) et Guignol’s
band. Parmi les dédicaces retrouvées en 2021, figure en belle place une série de six, s’échelonnant de 1934
à 1957, destinées à Marie Bell, l’une étant enrichie d’une caricature de l’actrice reproduite ici en
couverture.
Une importante série de lettres de tiers, autour du procès de février 1950, apporte maintes précisions sur la
préparation de la défense de Céline par Albert Naud ; la correspondance entre Pierre Monnier et Albert
Paraz, dont la première partie avait été publiée en 2020, livre des précisions sur l’aventure de « Frédéric
Chambriand », éditeur de Céline de 1948 à 1951 et principal acteur de son entrée chez Gallimard, qui
devient dès le retour de Céline en France maître d’œuvre de l’édition complète, et plus que complète avec
les récentes découvertes de manuscrits perdus dont il sera rendu compte dans L’Année Céline 2022, du
prosateur français majeur du XXe siècle.
Yoann Loisel revient sur « le traumatisme de la grande guerre », à partir de l’analyse du « document-
diagnostic » établi en mars 1915, qui permet de mieux appréhender comment la violence de la guerre a
transformé le jeune soldat et les répercussions sur toute la vie de Céline et sur toute son œuvre. Éric Mazet
poursuit son exploration des mentions de Céline dans la presse de son époque : ici, dans la presse
communiste (le quotidien Ce Soir et Franc-tireur, qui font preuve entre 1937 et 1950 d’une hargne
particulière contre l’écrivain). En 2021, le ton et la méthode ont changé, mais non les intentions
malveillantes. En témoigne l’émission télévisuelle « Céline : les derniers secrets », dont Jean-Luc Germain
démonte « la mise en scène tapageuse », digne d’une « téléréalité », indigne de la littérature.