L'Automne de la Renaissance

Belles Lettres - EAN : 9782251448565
Carlo Ossola
Édition papier

EAN : 9782251448565

Paru le : 5 oct. 2018

47,00 € 44,55 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782251448565
  • Collection : LES BELLES LETT
  • Editeur : Belles Lettres
  • Date Parution : 5 oct. 2018
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 496
  • Format : H:37 mm L:160 mm E:230 mm
  • Poids : 760gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Ce qui caractérise la fin du XVIe siècle, c’est une série de tentatives, d’attitudes, d’essais de nouveaux accords qui préludent à ce qu’interprétera par la suite l’orchestre du baroque au grand complet.
    Cette période, c’est celle du Maniérisme, située entre la période apollinienne de la Renaissance et celle, dionysiaque, du Baroque.
    Carlo Ossola l’a minutieusement étudiée dans l’Automne de la Renaissance, en s’appuyant sur des textes de poètes et de critiques, surtout sur des traités d’art de la seconde moitié du Cinquecento (Dolce, Gilio, Paleotti, Comanini, Danti, ainsi que sur Varchi, Vasari et Lomazzo). À cette époque, comme le note Ossola, « les limites des choses s’effacent : la parole se fait couleur, la couleur musique et chaque chose peut en devenir une autre ».
    Analysant les règles de ces écritures, Ossola met en évidence les normes avec lesquelles elles tentaient de fixer, de sauvegarder, de distinguer une syntaxe qui leur fût propre. L’effort consacré à parcourir l’infinie multiplicité des êtres et des formes est exigé par le désir de parvenir à la reductio ad unum finale. C’est à cause de cette intention, latente ou manifeste, que nous pouvons encore distinguer entre l’« automne de la Renaissance » et la pluralité de perspectives d’où naît le sens du vivant et du provisoire de la civilisation baroque.
    Publié en 1971, mis à jour et étoffé en 2014, cet essai de référence est une grande fresque sur la fin de la civilisation de la Renaissance en Italie.
  • Biographie : Gérard Marino, spécialiste de la poésie pastorale de la Renaissance et traducteur littéraire, a traduit en particulier l'Arcadie de Iacopo Sannazaro (prix Flaiano 2005).
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.