Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
L'avenir de l'intelligence
EAN : 9782385086633
Édition papier
EAN : 9782385086633
Paru le : 14 déc. 2022
19,00 €
18,01 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782385086633
- Réf. éditeur : 256717
- Date Parution : 14 déc. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 250
- Format : H:210 mm L:148 mm E:14 mm
- Poids : 329gr
- Résumé : L'Avenir de l'intelligence est un essai philosophique et politique du journaliste et homme politique français Charles Maurras, directeur de L'Action française publié en 1905. Ce texte est publié dès 1902 dans la revue Minerva dirigée par le journaliste René-Marc Ferry. Charles Maurras propose une critique « de l'évolution du statut de l'Intelligence au contact de la modernité, de sa progressive soumission à l'Or ». Dans ce texte, Maurras y développe « toute l'intransigeance de son intellectualisme » pour André Lagarde et Laurent Michard. Charles Maurras dénonce « la destitution historique des élites artistiques, passant d'un mécénat de prince éclairé au pouvoir purement intéressé et spéculatif, plus vulgaire et teinté de "cosmopolitisme", des riches possesseurs des organes de presse, dénonçant ainsi un monopole de fait de l'"Or" sur la pensée et l'esthétique ». L'essai est imprégné « d'un anticapitalisme social qui serait aussi bien reçu et applaudi par des personnalités intellectuelles et politiques de droite que de gauche et d'extrême-gauche » comme Édouard Berth, disciple de Georges Sorel. Julien Cohen y décèle l'expression d'un « anticapitalisme maurrassien » qui se définit par la dénonciation de « la corruption de la société civile nationale mais il est avant tout un refus du cosmopolitisme, c'est-à-dire de l'immigration de masse qu'implique la nouvelle société de marché ». D'après Pierre Boutang, ce texte est composé au cours de la période où Maurras portait « le plus d'attention à la réalité économique ».