Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
L'EFFONDREMENT
La Ptite Helene - EAN : 9782378391461
Édition papier
EAN : 9782378391461
Paru le : 24 avr. 2022
15,00 €
14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782378391461
- Editeur : La Ptite Helene
- Date Parution : 24 avr. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 90
- Format : H:210 mm L:140 mm E:10 mm
- Poids : 50gr
-
Résumé :
L'EFFONDREMENT
« Les hommes pensaient habiter la lune, voyager parmi les étoiles du ciel, peut-être même construire des ponts entre la boule bleue et ses voisines du cosmos les plus proches, et ils en sont à réapprendre à se laver régulièrement les mains ! Ils envisageaient d’ingénieuses trouvailles pour ne plus maculer de leurs détritus les mers, les océans, les forêts, l’air, et ils en sont à étudier comment on s’ajuste un bout de tissu sur le coin de la figure pour ne pas être exposés aux miasmes des congénères ! Ils pensaient s’être battus tout au long de leur histoire, par la force, par l’intelligence, par la culture et par l’instruction, pour s’accomplir enfin, libres et forts, dans un monde parfaitement géré, et ils en sont réduits à se terrer pendant des mois chez eux, tels des rats et tels leurs lointains ancêtres des grandes épidémies du Moyen-âge ! »
C’est là le livre que je n’aurais sans doute jamais voulu écrire.
Car il est le récit d’une souffrance, après que celle-ci se fut quelque peu éloignée, entrouvrant ainsi la porte à l’espoir et à la renaissance...
D’ailleurs, il en va toujours de même avec l’écriture : Elle est au vécu ce que la queue est à la comète, zébrant la nuit dans son sillage. C’est sans doute la raison pour laquelle on se souvient surtout de cette queue, plutôt que de la comète elle-même.
Par métonymie.
Ce récit est donc celui d’une cicatrice, plus que celui de la plaie ouverte en novembre 2020.
Je voulais en témoigner.
Pour ceux qui m’ont vu sur le point de partir et pour ces gens tout habillés de blanc qui se sont penchés sur ma misère pour tenter de m’en soulager.
Pour ceux, aussi, que j’ai vu partir, tout près de moi, emportés par un tueur invisible, tout comme pour les millions d’autres que je n’ai pas croisés.
Que leur souvenir toujours m’accompagne sur ce qu’il me reste de route à faire, couvrant ainsi d’opprobre tous les négationnistes du réel et les complotistes semeurs d’une mortelle confusion !