Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
L'épuisement professionnel
L'Harmattan - EAN : 9782738415264
Édition papier
EAN : 9782738415264
Paru le : 3 mai 2000
21,00 €
19,91 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782738415264
- Collection : LOGIQUES SOCIAL
- Editeur : L'Harmattan
- Date Parution : 3 mai 2000
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 224
- Format : H:215 mm L:135 mm E:12 mm
- Poids : 272gr
-
Résumé :
Le premier tome analysait les phénomènes d'épuisement professionnel dans les professions sociales et les professions de santé en interrogeant les effets de domination et d'emprise.
Dans notre société duale, où la violence fait des retours spectaculaires, l'individu est soumis à de telles pressions qu'il «craque». Cette rupture peut prendre des formes aussi diverses que le passage à l'acte violent, l'utilisation massive de psychotropes ou l'usure professionnelle. L'hypothèse de ce second volume est que le changement a un effet mobilisateur (dimension collective, action, utopie ... ) qui peut réguler le stress, l'usure, l'épuisement.
Reste à savoir ce qui le conditionne et quels en sont les freins. Cet ouvrage propose trois pistes pour essayer de changer l'ordre des choses: la connaissance de soi, la connaissance de l'autre et une élucidation des rapports de force qui structurent toute institution.
Changer suppose de construire des situations où un possible émerge là où tout semblait impossible.
Si, ne rien faire, nous conduit à des états déprimés, peut être devons-nous accepter « le risque permanent d'un engagement», tel est le fil conducteur de cette réflexion.