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L'OEil d'Abaddon
EAN : 9791092387681
Paru le : 22 nov. 2017
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- EAN13 : 9791092387681
- Réf. éditeur : 8151888
- Editeur : Underground
- Date Parution : 22 nov. 2017
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 384
- Format : H:235 mm L:153 mm E:21 mm
- Poids : 582gr
- Interdit de retour : Retour interdit
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Résumé :
C’est la fin du monde. Pas de doute, nous y sommes.
J’avais appris à craindre les catastrophes naturelles, l’ire légitime de la Terre que nous détruisons chaque jour un peu plus. Perdu.
C’est autre chose qui causera notre perte à tous, quelque chose de plus grand, quelque chose de plus beau encore que la planète nous vouant au néant, excédée par nos dernières conneries, lassée du nucléaire, de la pollution, de la consommation à bâtons rompus.
La lumière… Nous qui de tout temps avons craint les ténèbres, c’est son antithèse que nous redoutons aujourd’hui.
Il est l’heure pour nous, Terriens, de nous résigner. Rien ne sert d’avoir peur, de se plaindre, de se battre. La fin est proche, et elle n’épargnera personne.
Il ne nous reste plus qu’à saluer l’apocalypse.
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Biographie :
Toute rencontre agréable se doit de commencer par une présentation en bonne et due forme.
Tout d’abord, mettons mon véritable patronyme de côté. Ce n’est pas le nom qu’on nous a attribué qui reflète le mieux une personne. Il en est autrement du nom qu’on s’octroie. Keren Nott, voici le mien. Keren pour la force de ses consonnes et la douceur de ses voyelles, Nott pour la nuit éternelle.
En effet, quoi de mieux que le nom de la déesse nordique de la nuit pour représenter les ténèbres qui se tapissent en chacun de nous ? Car s’il existe un sujet qui me fascine, c’est bien celui-là. Quoi de plus attirant, de plus excitant que la dépravation humaine ? La beauté de la douleur surmontée, la lutte pour la vie... ou la mort. Mes écrits se présentent comme autant de portes entrouvertes sur des mondes peuplés d’êtres souffrants, en proie au doute ou à la démence. Je crois à la catharsis... dans l’encre et le sang !
Mais j’ai déjà trop parlé. Je vous laisse la clé de la voie des cauchemars. Qui sait : peut-être nous y retrouverons-nous ?