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L'Ordre de Cicéron - Tome 01
EAN : 9782723443357
Paru le : 12 mai 2004
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- EAN13 : 9782723443357
- Réf. éditeur : 7344104
- Collection : 24X32
- Editeur : Glenat
- Date Parution : 12 mai 2004
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 56
- Format : H:320 mm L:240 mm E:8 mm
- Poids : 630gr
- Résumé : Juin 2002, au siège du cabinet d'avocats Steiner - Mac Rae, en plein de coeur de Manhattan. Lors d'une réunion Nathan Steiner, jeune et ambitieux directeur de ce cabinet, l'un des plus puissants de la planète, annonce qu'il veut racheter un très grand confrère parisien : De Veyrac - Richemont. Au siège parisien, Benjamin de Veyrac est accablé. Il est hors de question de vendre aux américains le cabinet fondé par son arrière-grand-père ! C'est alors qu'il apprend l'origine de cet affrontement et de ce désir de rachat : Nathan est son cousin et le considère comme son pire ennemi. Tout cela remonte à 1938. Nicolas de Veyrac, grand-oncle de Benjamin, et son inséparable ami d'enfance Raphaël Steiner sont les plus brillants étudiants en droit dela Sorbonne. Ils vont être amener à plaider pour le même procès : un jeune noir du nom de Kassilé, accusé d'avoir tué ses employeurs. Durant cette période xénophobe, le procès déchaîne les passions ! Steiner défendra Kassilé, de Veyrac les enfants des victimes. Ce procès va se transformer en véritable affrontement entre les deux hommes qui se jalousent et entraînera des haines et des rancoeurs qui se poursuivent encore aujourd'hui... Paul Gillon est au sommet de son talent pour ce premier volume aussi prenant que remarquable ! « L'Ordre de Cicéron» s'annonce d'ores et déjà comme une grande et passionnante saga de bande dessinée !
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Biographie :
Enfant, Paul Gillon séjourne au sanatorium de Berck, dans le Nord, pour soigner sa coxalgie, tuberculose des os due à la répétition de chutes téméraires. Solitaire, il apprend à observer les petits faits imperceptibles et découvre la bande dessinée dont il nourrit son imagination.
Quelques années plus tard, cet insoumis qui rêve de théâtre, de cinéma et de music hall signe des couvertures de partitions (pour des chansons de Charles Trenet, Tino Rossi...) et des caricatures, publiées dans "Samedi-Soir", "France-Soir" et "Gavroche", avant de pénétrer l'univers de la BD. À l'hebdomadaire "Vaillant", il reprend Lynx Blanc, puis crée Fils de Chine. Paul Gillon a alors 22 ans, fréquente Saint-Germain des Prés, ses cafés, ses caves, sa faune. Il entre à "France-Soir", au "Journal de Mickey". Puis il se lance avec enthousiasme dans l'aventure de "Métal Hurlant" aux côtés de Druillet, Mœbius et Dionnet. S'il s'acoquine toujours avec les comédiens, ce monde qu'il idéalisait naguère se révèle à ses yeux de plus en plus superficiel. Changement de cap : il prend un appartement et se marie. Illustrateur, Gillon est désormais aussi scénariste avec Jérémie. Il conjugue même les deux activités dans Les Naufragés du Temps pour lequel il est coauteur avec Forest, assouvissant ce vieux désir d'oeuvrer en science-fiction. Sa dernière série en date est la saga judiciaire L’Ordre de Cicéron, scénarisée pour l’avocat Richard Malka. Magazines, journaux, albums, il multiplie les supports comme les perspectives de l'imaginaire. Paul Gillon était un Monsieur de la bande dessinée, disparu le 21 mai 2011. C'était un homme qui a toujours suivi sa voie, guidé par un farouche désir de liberté, mais qui utilisait aussi sont talent comme moteur d'aventures collectives restées dans les annales de la BD. Paul Gillon avait des ambitions pour son art, qu'il a contribué à porter plus haut : la bande dessinée le regrettera.