Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA FEMME-ENFANT
Palimpseste - EAN : 9782915892093
Édition papier
EAN : 9782915892093
Paru le : 1 oct. 2007
28,00 €
26,54 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782915892093
- Réf. éditeur : MEND2
- Collection : SINGULIERS
- Editeur : Palimpseste
- Date Parution : 1 oct. 2007
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 428
- Format : H:210 mm L:140 mm
- Poids : 516gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Faustin Laveleyne l’appelle « l’enfant bleue » : une jeune fille impénétrable dont le peintre tombe amoureux et il s’efforce de gagner son amour, d’abord par la volonté picturale de capter l’essence de son âme qui transparaît dans son regard, ensuite par la possession physique qui s’avère vaine.
Tout le roman consiste à dépeindre l’impuissance de l’artiste à atteindre son idéal esthétique, en l’occurrence la figure de la madone qu’il ne parvient pas à extraire des clichés de la danseuse prostituée évoluant dans les cafés-concerts. D. Laporte résume très bien le sujet :
« Dans le cas de la Femme-Enfant, le narrateur et les personnages du récit, dont le peintre Faustin Laveleyne, perçoivent contradictoirement Liliane Forli qui leur apparaît de prime abord comme un corps mi-adolescent, mi-adulte, mi-vierge, mi-prostitué, mi-hystérique, mi-sexuel ou, encore, mi-angélique, mi-bestial, et ce, dans des lieux, tels le théâtre, le café-concert, l’atelier et le bal, qui emblématisent par métonymie le regard voyeuriste. »