La Foire aux vanités - Tome I

EAN : 9791041919314

THACKERAY WILLIAM M.

Skip to the end of the images gallery

Skip to the beginning of the images gallery

Édition papier

EAN : 9791041919314

Paru le : 25 mai 2023

26,90 € 25,50 €

Disponible

Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous

Notre engagement qualité

Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande
Manquants maintenus
en commande
automatiquement
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h

Détails

EAN13 : 9791041919314
Réf. éditeur : 293717
Date Parution : 25 mai 2023
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 528
Format : H:220 mm L:170 mm E:28 mm
Poids : 812gr

Résumé

Résumé : Ce chef d'oeuvre de W. M. Thackeray l'un des plus grands romans anglais du XIXe siècle nous conte les destins de deux jeunes filles, Amélia Sedley et Rebecca Sharp. L'histoire commence à leur sortie du même pensionnat. Elles sont amies, même si tout les oppose. Amélia, issue d'une famille bourgeoise aisée, est douce, fragile, sincère. Son avenir est tracé, elle est promise à son cousin George Osborne. Rebecca, elle, est orpheline. Intelligente, calculatrice, elle est prête à tout pour se faire une place dans la haute société anglaise. Rebecca, après une première tentative avortée de mariage avec le frère d'Amélia, est embauchée comme gouvernante dans une famille de la meilleure société anglaise. Rapidement, elle sait se rendre indispensable et finit par épouser le fils de la famille. Amélia épouse, comme prévu, son cousin. La bataille de Waterloo et la mobilisation de son mari vont bouleverser la vie d'Amélia tandis que Rebecca réalise son rêve de vivre dans la haute société. Mais la roue de la fortune va à nouveau tourner.... Dans ce vaste tableau de la société anglaise, W. M. Thackeray sait utiliser l'humour et l'ironie pour décrire ces personnages dont les aspirations à fréquenter les gens fortunés, à amasser les titres et l'argent, sont en contradiction avec le progrès moral. Mais comme tout écrivain victorien qui se respecte, il sait alterner le rire avec les larmes. On pensera bien entendu à Dickens et les amateurs de Jane Austen ne pourront qu'apprécier ce roman.