Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA FOLIE MANIAQUE-DEPRESSIVE - 1913
Millon - EAN : 9782841372935
Édition papier
EAN : 9782841372935
Paru le : 19 sept. 2013
16,00 €
15,17 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782841372935
- Réf. éditeur : 84137.2935
- Collection : MEMOIRES CORPS
- Editeur : Millon
- Date Parution : 19 sept. 2013
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 160
- Format : H:210 mm L:140 mm E:13 mm
- Poids : 202gr
-
Résumé :
Consacré à la folie maniaque-dépressive, ce chapitre du troisième volume du grand traité de psychiatrie d'Emile Kraepelin fera date dans l'histoire de la psychiatrie : le professeur de psychiatrie de Munich y confirme pour la première fois sa thèse de la nature endogène, quasi constitutionnelle de la maladie. Le corps reste le support et le medium de toute pathologie mentale, et c'est donc une sémiologie du corps dans ses manifestations cliniques et comportementales que nous trouvons à l'œuvre dans cet exposé.
Malgré les nombreuses attaques antipsychiatriques des années soixante, l’œuvre kraepelinienne tant sur le plan clinique que nosographique, est restée solide. Les découvertes de la psychanalyse n’ont pas supprimé la nosologie psychiatrique. Le psychiatre, même psychanalyste, a encore besoin d’utiliser des modèles nosologiques, ne serait-ce que pour préciser ses indications thérapeutiques. Tant que le discours médical ne sera pas séparé d’une tendance normative qui réapparaît constamment derrière son apparente objectivité ou « neutralité », la nosographie persistera, même dans les domaines les plus éloignés de la médecine organique. C’est pourquoi E. Kraepelin restera longtemps au fondement du diagnostic en pathologie mentales.