Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La grammaire latine en France à la Renaissance et à l'Age classique
EAN : 9782843100154
Édition papier
EAN : 9782843100154
Paru le : 23 avr. 1999
59,00 €
55,92 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782843100154
- Date Parution : 23 avr. 1999
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 724
- Poids : 1.02kg
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : La grammaire latine, bien qu'elle semble s'imposer aujourd'hui à nous par son évidence et sa solidité, n'est pas le fruit d'une évolution linéaire. Son histoire, étudiée dans ce livre pour la période qui s'étend de la Renaissance aux Lumières, est riche de problématiques, de débats et comporte même quelques énigmes. Ainsi la grammaire humaniste, qui prétendait renouer avec la grammaire antique, a-t-elle vraiment rompu avec les théories médiévales ? Pourquoi la grammaire latine la plus célèbre du xvlle siècle, la Nouvelle Méthode latine de Port-Royal, compte-t-elle 900 pages, alors qu'au siècle suivant on se contente de quelques feuillets ? Pourquoi certains s'obstinent-ils à donner des dizaines de règles en vers pour apprendre la morphologie latine, alors que, dans le même temps, d'autres négligent complètement cette partie de la grammaire ? Pourquoi les pédagogues ont-ils éprouvé le besoin d'inventer une règle aussi étrange que celle du " que retranché " ? A ces questions et à quelques autres, ce livre entend donner sinon des réponses définitives, du moins des débuts d'éclaircissement, dans un domaine trop longtemps laissé en friche par les latinistes eux-mêmes.