La grande guerre à cheval

Ifce - EAN : 9782915250404
ANDREANI JEAN-LOUIS
Édition papier

EAN : 9782915250404

Paru le : 2 déc. 2014

19,80 € 18,77 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782915250404
  • Réf. éditeur : G40815
  • Collection : HOMMES ET CHEVA
  • Editeur : Ifce
  • Date Parution : 2 déc. 2014
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 240
  • Format : H:240 mm L:160 mm E:11 mm
  • Poids : 488gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé :

    La Grande Guerre à cheval n'est pas un livre d'Histoire, mais un livre qui raconte une histoire : celle de la cavalerie française pendant la première Guerre mondiale, dont l'action à cheval constitue l'un des volets les plus oubliés, voire méconnus, du conflit. La terrible légende de la Grande Guerre a bien été écrite, pour l'essentiel, par les grandes vagues de poilus, arcboutés dans les tranchées fangeuses ou envoyés au feu pour des attaques sans retour. Malgré tout, des dizaines de milliers d'hommes sont partis pour la guerre à cheval, armés de la lance ou du sabre, souvent avec une cuirasse et un casque à crinière. Même réduite, la cavalerie montée restera présente jusqu'à la fin de la guerre.

    Au début, le XIXe siècle est encore dans les armes, les conceptions de combat, mais aussi dans les coeurs. Si les conscrits suivent leurs officiers, ceux-ci, surtout les plus jeunes, veulent être les dignes héritiers des glorieux sabreurs de l'Empire. Ils brûlent de venger leurs aînés de la cavalerie sacrifiée de 1870, ne rêvent pour la plupart que de charges et de chevauchées victorieuses.

    Mais peu à peu, le rêve se brise. La cavalerie allemande refuse le combat "à l'ancienne". Les erreurs initiales du commandement dilapident la cavalerie. L'installation de la guerre de position, l'échec des offensives sanglantes imposées à l'infanterie, rendent inopérantes les qualités premières de l'arme : vitesse, mobilité, surprise, capacité de choc. L'irruption massive de l'artillerie bouleverse la manière de faire la guerre, tandis que la motorisation et l'aviation naissante détrônent la cavalerie, en partie démontée.

    Les hommes ne sont pas en cause : la valeur militaire de la cavalerie est reconnue au combat... à pied. Ainsi les cuirassiers démontés deviennent des troupes d'élite qui s'illustrent notamment au Chemin des Dames. Mais jusqu'au bout, des cavaliers mènent à cheval et au sabre des actions brillantes.

    Après la fin de la guerre, ni l'Allemagne, ni la France ne suppriment leur cavalerie. Mais celle-ci n'est plus qu'une infanterie portée, même si les manèges de Saumur ne désemplissent pas. La guerre de 14 aura bien été la dernière charge de la cavalerie française.

    Dans cet ouvrage, Jean-Louis Andreani réunit deux de ses centres d'intérêt : 14-18 et les chevaux. Journaliste, il décrypte, analyse, met en regard les textes d'historiens ou de témoins. Ecrivain, il plonge le lecteur au coeur de la guerre et de la vie quotidienne de la cavalerie, fait revivre des épisodes étonnants avec une plume vive et limpide. Cavalier, il enrichit son texte de notations précieuses, que seul un familier des chevaux pouvait apporter.

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.