Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La mort de la nature
Wildproject - EAN : 9782381140032
Édition papier
EAN : 9782381140032
Paru le : 10 sept. 2021
25,00 €
23,70 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782381140032
- Collection : DOMAINE SAUVAGE
- Editeur : Wildproject
- Date Parution : 10 sept. 2021
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 400
- Format : H:35 mm L:140 mm E:220 mm
- Poids : 612gr
- Résumé : Un grand classique de l’écoféminisme – un livre fondateur des humanités écologiques Entre le 16e et le 17e siècle, l’image d’une Terre organique, féminine, et vivante fait place à une nouvelle vision du monde dans laquelle la nature est reconceptualisée comme une machine morte et passive, autorisant ainsi sa spoliation sans limite aux mains de l’homme. Dans La Mort de la nature, Carolyn Merchant montre que ce changement de paradigme aurait justifié non seulement la domination de la Terre, mais aussi la création d’un système socio- économique dans lequel les femmes, depuis toujours associées à l’image de la Nature, seront subjuguées aux hommes. Ce livre, qui est un des premiers à explorer la Révolution Scientifique du point de vue du féminisme et de l’écologie, traite des changements économiques, culturels et scientifiques à l’origine du monde moderne et de la crise écologique qui menace sa survie. « Après la Révolution scientifique, Natura ne se plaignait plus que ses lambeaux de modestie étaient déchirés par les assauts injustifiés de l’homme. D’une enseignante et d’une parente actives, la Terre était devenue un corps soumis et décervelé. [...] Le nouvel ordre mécanique allait exiger la mort de la nature. »