Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La notion de partie en procédure civile
Irjs - EAN : 9782919211999
Édition papier
EAN : 9782919211999
Paru le : 12 déc. 2019
39,00 €
36,97 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782919211999
- Réf. éditeur : TOME 109
- Collection : BIBL. DE L'IRJS
- Editeur : Irjs
- Date Parution : 12 déc. 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 421
- Format : H:240 mm L:160 mm E:24 mm
- Poids : 700gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
La notion de partie en procédure civile désigne une qualité procédurale offrant un certain nombre de prérogatives que l’on peut qualifier de garanties de défense, tels l’accès aux pièces de la procédure et la possibilité de récuser un juge ou un technicien. Analyser ainsi la notion de partie permet de montrer la coexistence de deux réalités : d’une part, les personnes qui ont la qualité de partie, à savoir les personnes qui figurent dans une instance en formant une prétention portée en justice via un acte de procédure ou en étant visées par une prétention qui leur est adressée via un tel acte ; d’autre part, les personnes qui ont vocation à disposer de la qualité de partie, et donc des prérogatives attachées à cette qualité, à savoir, en principe, les personnes dont la situation juridique est susceptible d’être affectée par une décision de justice à venir.
Ces deux réalités ne se recoupent pas nécessairement : les personnes ayant vocation à être parties ne sont pas toujours celles qui ont, effectivement, cette qualité. En effet, il est possible qu’une personne soit tiers à une instance à laquelle elle devrait pourtant être partie puisque sa situation juridique est en jeu dans le procès. Et, à l’inverse, il existe des personnes qui sont parties à une instance alors qu’elles n’ont pas vocation à l’être. Des mécanismes sont proposés pour résoudre efficacement ces difficultés lorsqu’elles se présentent.
Cette démarche permet par ailleurs de mieux comprendre et d’apprécier de manière critique des cas a priori difficiles à cerner, comme ceux des tiers « représentés » en matière de tierce opposition, ou des personnes ayant simplement le droit de former des observations, en vérifiant, pour chacun, que leur situation procédurale est en cohérence avec leur rôle dans l’instance et l’effet que la décision de justice a sur eux.
Ainsi, analyser la notion de partie comme une qualité procédurale apportant des prérogatives que certaines personnes doivent avoir, et d’autres non, permet de vérifier que chacun dispose de la qualité procédurale qui doit être la sienne, tiers ou partie et, si tel n’est pas le cas, de proposer des solutions pour y remédier.