"LA NUIT COMME LE JOUR" DE JEAN CHARLEBOIS

Passe Du Vent - EAN : 9782845622845
CHARLEBOIS JEAN
Édition papier

EAN : 9782845622845

Paru le : 12 déc. 2016

15,00 € 14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782845622845
  • Réf. éditeur : POESIE032
  • Collection : POESIE
  • Editeur : Passe Du Vent
  • Date Parution : 12 déc. 2016
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 118
  • Format : H:160 mm L:240 mm E:9 mm
  • Poids : 238gr
  • Résumé : LA NUIT COMME LE JOUR
    UN OUVRAGE À CONTRE-JOUR QUI DEBUSQUE LES OMBRES
    ET QUI INONDE DE JOUR LES YEUX DE L’AMOUREUSE


    QUATRIEME DE COUVERTURE :

    Vers et prose. Un amalgame dans lequel se fondent plusieurs éléments :

    • accents du présent fragmenté, décomposé, et retours en arrière dans le passé recomposé ;

    • souvenirs liés au village natal de l’auteur, Baie-Saint-Paul, et toiles de fond représentant le fleuve bleu-vert et Saint-Laurent ;

    • propos qui témoignent d’une intimité certaine et apartés sur les choses de la vie d’un homme âgé de cinquante-ans… d’écriture.

    Sans oublier des regards posés sur le monde dans lequel on vit : réfugié-e-s, atrocités, argent de tous les scandales… Urgence : la Terre se cherche un Président.

    L’amour, il va sans dire, occupe une place prédominante. Ou plutôt « la mour l’amort », selon l’expression de l’auteur.
    Le lyrisme est aussi au rendez-vous. Comment pourrait-on vivre sans lyrisme ?

    Extrait :

    Tu es chez toi à longueur de journée de moi
    sur les pointes de ton regard sérieux de ballerine
    dans ta maison sans rideaux que je suis
    je dirais même sans trop m’avancer dans mes affaires de cœur
    que tu fais vivre demain pour que vivent mes mots
    j’entends tinter tes étoiles naines qui à première vue s’entendent
    entre elles pour faire du bruit lisse de ciel vertical
    comme des cataractes muettes
    c’est beau sans bon sens à perte de vue j’y referais ma vie

    Tu défais le lit de ton vol à vue dans tes désirs gourmands
    tu as toujours su te faire voir pour te faire avoir
    pendant que je dors à peine du bout du bout des yeux
    dans ta beauté unie la nuit comme le jour
    océane
    pour ne pas rater ton entrée dans l’atmosphère
    où la terre est bleue comme une orange dit-on
    nue de tout ton cœur tu donnes au ciel des reflets
    de vitraux gothiques de rosaces qui prient
    tandis que ta bouche dit des mots qui n’en sont pas […]
  • Biographie : L’AUTEUR


    BIOGRAPHIE


    JEAN CHARLEBOIS est écrivain pour gagner sa mort, dignement. Depuis toutes ces années, son œuvre s’articule autour de deux thèmes qui lui tiennent particulièrement à cœur : « la mour et l’amort ». Comme le lui a répété maintes et maintes fois Paul Éluard : « Il nous faut peu de mots pour exprimer l’essentiel ; il nous faut tous les mots pour le rendre réel. » Et plusieurs livres aussi, parfois.

    Parallèlement à ses livres, pour gagner sa vie, il exerce le métier d’écrivain public. C’est-à-dire qu’il fabrique des textes sur mesure pour des sociétés publiques et privées, des PME, pour des musées, des chanteurs, des acteurs, des cinéastes… Il a même écrit des textes de chanson pour Sesame Street – témoin son certificat dûment signé de la plume même de Big Bird.

    Il est né à Baie-Saint-Paul (mais… toute la famille sait que sa mère a accouché à Québec) en 1945, au temps où les goélettes venaient charger de la « pitoune » au quai de la Baie.


    QUELQUES-UNES DE SES PARUTIONS

    Au même moment, poésie enveloppée de prose, préface de André Brochu, photographies de Michel Tulin, Les Heures bleues, 2014

    Comme au cinéma, fiction poétique, photographies de Michel Tulin, Les heures bleues, 2012

    S’ininterrompre tout à coup au beau milieu d’une phrase, poésie, illustrations de Françoise Ségard, Les Heures bleues, 2010

    Elle aime, roman, Les Heures bleues, La passe du vent, 2008

    Petites nouvelles…, nouvelles, illustrations de Madeleine Lemire, Les Heures bleues, 2006

    Blancbleubrunjaunenoirorangeroserougevert, poésie, Lanctôt Éditeur, 2004

    En mille miettes, proses, Lanctôt Éditeur, 2003






    L’ILLUSTRATEUR


    CHARLES LEMAY est entré à l’atelier du frère Jérôme en 1963, il y a donc une cinquantaine d’années, il multiplie les expositions principalement à Montréal et dans ses environs.

    Plus récemment, en 2014, sur les instances de nombreux amis habitant la région de Sutton, il décide de présenter, à la galerie Art Plus, des œuvres qu’il réalisera pour la circonstance.

    Cette fois, ce ne sont pas de grandes toiles à l’huile ou à l’acrylique, mais plutôt une série de petits pastels, moins dramatiques et plus sereins, dont la matière même semble guider la main du peintre.

    « Sur les surfaces amoureusement traitées par ce savant coloriste, écrira une amie, surgissent et prennent vie ses personnages mis en situation avec une économie de moyens. Lesdits personnages captent immédiatement notre attention et nous paraissent si chargés d’humanité qu’à l’instar de Lamartine qui, lui, s’adressait à des objets, nous nous posons la question : Êtres inanimés, avez-vous donc une âme / Qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ? ».
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.