La petite fille de Jérusalem

Des Equateurs - EAN : 9782849904558
HARRY/ MYRIAM
Édition papier

EAN : 9782849904558

Paru le : 26 mai 2016

16,00 € 15,17 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782849904558
  • Réf. éditeur : 012325
  • Collection : LITTERATURE
  • Editeur : Des Equateurs
  • Date Parution : 26 mai 2016
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Format : H:200 mm L:120 mm E:23 mm
  • Poids : 288gr
  • Résumé : La Petite Fille de Jérusalem est l'histoire d'une enfance dans la Ville sainte à la fin du XIXe siècle. Les odeurs des souks, les couleurs chaudes de la terre et des murs, le ciel, les musiques, les chants et les prières y sont mêlés. Ses habitants, décrits avec précision et humour, se côtoient : Arabes - musulmans et chrétiens -, Juifs, Turcs, Grecs, Arméniens, Russes, Circassiens, esclaves noirs, Occidentaux de toute confession... On assiste également à l'arrivée des Juifs d'Europe pauvres et en guenilles. C'est à l'abri d'une vieille maison sarrasine et du magasin paternel que Siona Bénédictus grandit. Sa vie est façonnée par la tendresse de sa nourrice moabite, le rigorisme de sa mère, diaconesse luthérienne allemande, et l'excentricité érudite de son père, antiquaire, libraire et se disant archéologue. La Petite Fille de Jérusalem est également l'histoire du père, Juif d'origine russe, converti à l'anglicanisme, dont la boutique de souvenirs et d'antiquités locales, nichée près du Saint-Sépulcre, fait rêver la « petite Sulamite ». Un lieu magique rempli de vases, de tissus, de stèles et de livres anciens, de dames prenant le thé assises sur des sofas... Ce père, trop souvent absent, abandonne sa famille pour des expéditions mystérieuses au pays de Moab (Jordanie actuelle). Un jour, il en rapporte un manuscrit fait de bandelettes de cuir gravées d'une ancienne écriture hébraïque qu'il identifie comme l'un des plus anciens rouleaux de la Bible : le Deutéronome. En 1882, Moses Wilhelm Shapira (le véritable nom du père de l'auteur) part à Londres vendre son trésor au British Museum. Accusé de faux, il se suicide dans un hôtel à Rotterdam. Les rêves de richesses de la famille s'effondrent. Détenait-il le premier manuscrit dit de la mer Morte, soixante-cinq ans trop tôt ? C'est la question que pose le texte du bibliste Paul Auvray mis en annexe au roman. La vie de Siona bascule. Mme Bénédictus ne peut régler les dettes de son époux, vend boutique et maison et retourne, avec sa fille, dans son Allemagne natale. Déracinée, perdue à Berlin, si éloignée de la Jérusalem aimée, Siona fait le serment des exilés de Babylone : « Si je t'oublie, Jérusalem, que ma main droite s'oublie ! » (Psaume 137).
Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.