Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA PRISONNIERE
Flammarion - EAN : 9782081354562
Édition papier
EAN : 9782081354562
Paru le : 3 févr. 2015
9,10 €
8,63 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782081354562
- Réf. éditeur : S35900
- Collection : GF
- Editeur : Flammarion
- Date Parution : 3 févr. 2015
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 576
- Format : H:179 mm L:110 mm E:25 mm
- Poids : 382gr
- Résumé : La Prisonnière nous introduit dans des univers clos où, malgré les évocations riantes des cris de Paris et un burlesque historique de l'homosexualité à travers les âges, nous voyons d'un côté Albertine et le narrateur se détruire dans le plus torturant des marivaudages et, de l'autre, le Baron, au sommet de sa puissance mondaine, être anéanti d'un seul coup par une vindicative exécution couplée avec une trahison amoureuse. Jamais Proust n'a atteint ce degré de dérision, de cruauté, de tension dramatique, de pressentiment de la mort. Pourtant, à travers tout cela se révèlent les valeurs et les démarches de l'art, cependant que débute le grand retour de l'oeuvre sur elle-même, à elle-même son propre miroir. L'édition du texte, faite d'après une nouvelle lecture des manuscrits et des dactylographies, tient un compte particulier du découpage et de la ponctuation d'origine, restituant avec plus d'authenticité la voix particulière de Proust.
- Biographie : Écrivain né et mort à Paris (1871-1922). Fréquente assidûment les milieux mondains et les salons littéraires de son temps. Adopte les conceptions esthétiques de Ruskin qu'il traduit. À la mort de sa mère, en 1905, s'isole de plus en plus dans sa chambre, luttant contre des crises d'asthme, pour parachever jusqu'au dernier instant son oeuvre majeure, dont plus d'un tiers sera posthume.