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La Sans-Dot
Tertium - EAN : 9782368482421
Édition papier
EAN : 9782368482421
Paru le : 1 sept. 2016
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- EAN13 : 9782368482421
- Collection : THEATRE EN POCH
- Editeur : Tertium
- Date Parution : 1 sept. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Nombre de pages : 128
- Format : H:210 mm L:135 mm E:11 mm
- Poids : 180gr
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Résumé :
Dans une ville qui domine la Volga et où vivent de riches bateliers, une veuve à court d’argent se comporte de façon complaisante et quelque peu ridicule avec les bourgeois de son entourage. Sa fille, Larissa, dont la beauté et les talents de chanteuse fascinent bien des hommes, n’a hélas pas de dot. Elle est promise à un jeune fonctionnaire. Le mariage se prépare, mais trois hommes reviennent dans leur ville, tous séduits par Larissa. Il y a là l’homme d’affaires Knourov, très fortuné, qui est prêt à entretenir la jeune fille sans l’épouser, le snob Vojévatov aux manières comiquement occidentales et Paratov qui rêve de reconquérir Larissa alors qu’il est déjà fiancé à une héritière millionnaire. Ballotée, déchirée se sentant trahie par l’un ou par l’autre, Larissa perdra dans ce tourbillon ses illusions et même la vie.
« La Sans-Dot » est une grande pièce méconnue. Une oeuvre qui dépeint une certaine société russe de la fin du XIXème siècle.
Alexandre Ostrovski (1823-1886) a précédé Tchekhov dans l’histoire du théâtre russe. Il écrit des histoires à rebondissements avec un grand sens du théâtre, reposant sur une subtile observation des moeurs et un sens remarquable de l’action dramatique et comique. -
Biographie :
Précurseur de Tchekov, dramaturge capital de la Russie au XIXe siècle, Alexandre Nikolaïevitch Ostrovski (Moscou, 1823 – Chtchelykovo, 1886) a connu de très grands succès avec des pièces, toujours jouées dans le monde entier, comme L’Orage (1859). Cœur ardent (1869) et La Forêt (1871).
Parmi sa cinquantaine d’œuvres dramatiques, on peut retenir Entre soi on s’arrange toujours (1850 et 1861), La Pupille (1859), Un ami vaut mieux que deux nouveaux (1859), Les chiens du logis se chamaillent, que celui du voisin ne s’en mêle pas ! (1861), Péché et Malheur nous attendent tous (1863), Le Voïévode (1865), Dimitri l’imposteur (1867), Le Plus Malin s’y laisse prendre (1868), Ce n’est pas toujours carnaval ! (1871), Pas un denier, soudain les poches pleines ! (1872), Un acteur comique du XVIIe siècle (1872), Un amour tardif (1874), Loups et Brebis (1875), La vérité c’est bien mais le bonheur c’est mieux (1876), Le Mariage de Belouguine (en collaboration avec Nikolaï Soloviov, 1877), Sans dot (1879), Le cœur n’est pas de pierre (1879), Les Esclaves (1880), Talents et admirateurs (1881), Les Innocents coupables (1884), Pas de ce monde (1885).
Longtemps peu rétribué, souvent interdit par la censure, Ostrovski fut un militant de la liberté des théâtres, étouffée par le pouvoir tsariste, et de la cause des auteurs. Il a d’ailleurs, lui, le peintre de la société de son temps, souvent représenté le théâtre et ses professionnels à l’intérieur de ses drames et de ses comédies.