La Sauvagine La Souvagino

Asard Bautezar - EAN : 9791094199183
D'ARBAUD JOSEPH
Édition papier

EAN : 9791094199183

Paru le : 4 déc. 2021

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  • EAN13 : 9791094199183
  • Editeur : Asard Bautezar
  • Date Parution : 4 déc. 2021
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 288
  • Format : H:200 mm L:145 mm E:23 mm
  • Poids : 380gr
  • Résumé : Par les voix de Ziri l’étourneau, de Mouah le héron, de Queue-Courte le lapin (Couvet, lou lapin), de Croua le flamant, mais aussi du taureau Bouah-Hou ou de Kélélé le cheval américain, on suivra les aventures d’une communauté animale où il n’est pas toujours facile de respecter la « loi naturelle » de chaque espèce…
    Dans ces sept récits familiers, nourris d’une fine observation personnelle, Joseph d’Arbaud déploie ses qualités bien connues de conteur, avec humour et délicatesse, en se situant dans la lignée des grands auteurs animaliers, du La Fontaine des Fables au Kipling du Livre de la Jungle.
    En supplément, un cahier d’illustrations autour du bestiaire camarguais et une étude sur les contes, par Claude Mauron.
  • Biographie : En 1897, le jeune écrivain provençal Joseph d’Arbaud (1874-1950) rejoint son cousin Folco de Baroncelli aux Saintes-Maries-de-la-Mer et, comme lui, il entreprend de se constituer une manade de taureaux, au coeur de la Camargue, notamment au Bois des Rièges, ainsi qu’au Plan-du-Bourg (entre Arles et Port-Saint-Louis) où il s’installera en 1902, aux Cabanes des Clos-du-Radeau. Cette période heureuse, durant laquelle il compose les poèmes de ses Cant Palustre (Les Chants Palustres), est interrompue en 1905 par la maladie, qui lui interdit de résider dans ces contrées propices aux fièvres.
    C’est désormais dans ses écrits que Joseph d’Arbaud va perpétuer le souvenir de ce « paradis perdu », de cet univers camarguais et de ses sortilèges, notamment dans La Bèstio dóu Vacarés (La Bête du Vaccarès) qu’il publie en 1926. Trois ans plus tard, les textes de La Sóuvagino présentent une approche complémentaire de la Camargue, envisagée du point de vue des bêtes qui y vivent, soumises à la cohabitation avec les gardians des troupeaux de chevaux et de taureaux.
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