Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La Vie au grand air - Tome 01
EAN : 9782723475563
Paru le : 17 févr. 2010
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782723475563
- Réf. éditeur : 7335763
- Collection : HUMOUR
- Editeur : Glenat
- Date Parution : 17 févr. 2010
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 72
- Format : H:270 mm L:210 mm
- Poids : 298gr
-
Résumé :
Même les crocodiles se marrent...
Totalement irrespectueux, grand provocateur, cynique absolu, Reiser était surtout un grand, un très grand dessinateur d'humour. Le mot qui tue, le trait qui dézingue.
Chacun de ses albums reste aujourd'hui un astéroïde graphique, lancé à pleine vitesse sur le conformisme, l'hypocrisie, la démagogie... La réédition de La Vie au grand air montre une fois de plus la modernité et l'actualité de son regard sur notre société.
L'Afrique noire de Reiser c'est la chasse, l'évangélisation... Chaque situation banale prend soudain une dimension désespérément comique. Les personnages (nous tous !) sont maladroits, lâches, minables. Las ! Reiser a beau faire, on sent tout de même une pointe de tendresse dans tout ça?
Un chef-d'oeuvre intemporel ! -
Biographie :
Génie de la bande dessinée et du dessin de presse, le trait de Reiser fit mouche dans un grand nombre de revues, pour la plupart contestataires et anticonformistes (Hara-Kiri, Charlie Hebdo, Pilote, La Gueule Ouverte, Charlie Mensuel, Métal Hurlant, L'Écho des savanes...). Reiser croquait les gens ordinaires avec un humour très cru pour l'époque, et souvent avec un mauvais goût assumé, sans jamais s'autocensurer et en riant aussi bien de la misère que de la mort, mais surtout, d'abord et avant tout, de la connerie humaine. Il a reçu le Grand Prix de la Ville d'Angoulême en 1978 pour l'ensemble de son œuvre. Il a disparu prématurément en 1983.