Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La Villa Kérylos
EAN : 9782757705148
Paru le : 10 nov. 2016
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782757705148
- Réf. éditeur : 868493
- Collection : ITINERAIRES
- Editeur : Patrimoine
- Date Parution : 10 nov. 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 64
- Format : H:225 mm L:113 mm E:5 mm
- Poids : 139gr
-
Résumé :
Admirablement située au bord de la Méditerranée sur le territoire de la commune de Beaulieu-sur-Mer (Alpes Maritimes), la villa Kérylos, propriété de l'Institut de France depuis 1928, a été construite au tout début du XXe siècle par Emmanuel Pontremoli pour Théodore Reinach sur le modèle d'une villa grecque de l'Antiquité.
Fils d'une famille de banquiers, helléniste hors-pair, Théodore Reinach a consacré environ 9 millions de francs (grâce en partie à la fortune de sa femme, qui était issue de la famille Ephrussi) à la construction de cette résidence qui fut achevée en 1908. L'architecte Emmanuel Pontremoli en a imaginé les moindres détails jusqu'à l'argenterie, faisant de cette demeure une oeuvre d'art totale. Chaque objet s'inscrit ainsi dans une harmonie d'ensemble évocatrice de l'atmosphère d'une villa grecque antique. En effet, ce n'est pas une reconstitution rigoureuse d'une villa délienne mais une demeure dotée - discrètement - de tout le confort moderne et d'inspiration antique éclectique. Issu de l'Ecole des Beaux-arts et Grand prix de Rome en 1890, l'architecte a lui-même participé à des fouilles archéologiques et des restaurations de sites de la Grèce antique.
Conservateur en chef du patrimoine, Georges Vigne a principalement partagé sa carrière entre des travaux sur l'architecture Art Nouveau à Paris et sur l'oeuvre de Jean-Auguste-Dominique Ingres. Il fut directeur du musée Ingres (Montauban) de 1988 à 2003.